mardi 6 décembre 2011

Embrouillamini au Niger

"C'est Mokhtar Belmokhtar qui a commandité les enlèvements des otages. C'est lui. Ses gens nous ont dit que c'est bien lui. Il n'y a aucun doute sur ça", a déclaré à l'AFP un médiateur malien actuellement basé dans le nord du Mali, qui avait auparavant négocié avec l'Algérien Belmokhtar des libérations d'otages européens.

"Oui, c'est Belmokhtar l'auteur de l'enlèvement des otages. Parmi les ravisseurs, il y avait directement ses hommes", a affirmé une source nigérienne, également impliquée par le passé dans une affaire de libération d'otages européens dans le Sahel.

La France et le Mali accusaient depuis lundi Aqmi d'être derrière le rapt, toujours non revendiqué.

La mouvance a revendiqué il y a trois mois le rapt dans le nord du Niger de cinq Français, d'un Togolais et d'un Malgache, travaillant pour la plupart pour le groupe nucléaire français Areva et un sous-traitant.

Vendredi soir, les deux Français de 25 ans, Antoine De Léocour et Vincent Delory, ont été enlevés dans un restaurant du centre de Niamey et retrouvés morts le lendemain après un assaut des forces françaises en territoire malien contre les ravisseurs.

Leurs dépouilles, entreposées dans une petite clinique privée de Niamey, devaient être rapatriées par un vol mardi soir qui arrivera à Paris tôt mercredi matin, a précisé une source diplomatique au Niger.

Le ministre français de la Défense, Alain Juppé, a révélé mardi depuis le Tchad que l'un des otages était "mort d'une balle dans la tête", ajoutant avoir "toutes les raisons de penser" que les deux hommes avaient "été exécutés par les ravisseurs".

Selon une source médicale qui a pu voir les corps à Niamey%2

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MISE A JOUR IMPORTANTE 23 SEPTEMBRE 2010, 16H21 (TEMPS UNIVERSEL): INTERCEPTION DES COMMUNICATIONS DES SERVICES FRANCAIS VERS PARIS. LES SERVICES FRANCAIS VIENNENT D'ENVOYER UNE CASSETTE VIDEO DES 7 OTAGES A AL JAZEERA IL Y A QUELQUES MINUTES, LA FRANCE-ISRAEL A APPOSE LE LOGO AQMI, LE DRS-DST LES VOIX DES MERCENAIRES...

Le Niger, comme la Mauritanie, le Mali, tout le Maghreb étant sous le control total et direct de la France-Israel et de son gouvernement de racistes et de poseurs de bombes (sur la photo, la racaille de l'extreme droite juive sioniste Sarkozy et son nouveau pantin Tandji installé depuis peu par les services francais).

Des sources touaregues dans la region nous confirment que les ravisseurs ont travaillé pour la sécurité d'Areva et sont liés aux trafics de drogue dans la region, au Maghreb et dans le sud de l'Europe (Espagne, Corse, Sardaigne, sud de l'Italie). Toujours selon des sources touaregues locales, plusieurs groupes armés utilisent des telephones satellites de fabrications francaises et sont en contact direct avec des élements francais travaillant comme 'conseillers-instructeurs' dans les armées nigeriennes, maliennes ou mauritaniennes et que ce sont ces éléments francais qui ont enlevé indirectement les otages d'Areva avec l'aides de leurs reseaux de trafiquants de drogue locaux qui sont etrangement puissament armés.

Les services francais ont enlevé les 7 otages au Niger, selon nos sources aucun signe de vie des otages depuis dimanche dernier. Les tribues touaregues accusent la France de mener une guerre coloniale contre les tribues touaregues au travers de l'armée nigerienne dont le nouveau chef a été mis en place par les services francais lors du dernier coup d'etat, de piller le Niger et ses richesses naturelles.

Cote DRS-DST, les sources touaregues confirment la venue d'emissaires francais et algériens au debut du mois d'aout 2010, pour tenter de localiser qui des tribues locales avaient informées des tierces parties des prises d'otages récentes en cours du DRS-DST, et qui donnait des informations sensibles. Plusieurs jeunes ont été enlevés par l'armée nigerienne sur ordre des 'conseillers' francais en représailles. Les freres touaregues confirment qu'ils subissent le harcelement continu des reseaux de trafiquants de drogue, de l'armée nigerienne, qui sous-traitent dans la region et qui sont protégés par les militaires francais d'un coté et le DRS-DST algérien de l'autre coté, ils nous informent egalement de la présence accrue d'anglais et d'americains (beaucoup de noirs americains) qui offrent beaucoup d'argent pour des informations et ont etabli plusieurs liens solides avec des chefs de tribues.

Plusieurs jeunes femmes ayant été enlevées, violées et retrouvées mortes. Reseaux de proxenetismes qui les offrent ensuite aux expatriés et militaires occidentaux. Il ne fait aucun doute que les prises d'otages a répétition sont le fait des services francais qui souhaitent maintenant devancer la présence americaine dans la region en re-établissant des bases militaires opérationnelles illégalement sous couvert de terrorisme dans la région.

Le gouvernement de la France-Israel souhaitant jouer les premiers roles dans la region du Maghreb-Sahel, par l'intermediaire d'une part de son controle total sur le DRS-DST (controle du general Kharroubi-Attafi dit Kherfi, Tewfik ayant demandé la protection d'Obama) et de l'autre coté des bases militaires illégales et coloniales, completant ainsi son dispositif avec les bases secretes du Senegal, et publiques de Cote d'Ivoire, Tchad, Centre-Afrique et Djibouti, forcant ainsi l'administration Obama et les israeliens a deleguer entierement la region aux francais, contrairement a ce qui se passe en Afghanistan, Yemen, Somalie, Liban, Syrie, Turquie, Jordanie, Emirats-Arabes Unis. Voila pourquoi le DRS-DST a implanté ces faux groupes armées, le message etant de faire comprendre que seuls le DRS-DST, donc la France peuvent lutter et se charger de faire le gendarme localement.

Car l'heure du bilan est venu pour la mafia israelienne a Paris et celui-ci est catastrophique, les soldats morts pour Israel en Afghanistan doivent se justifier avant 2012, de meme que la politique de re-integration dans l'OTAN ou la encore, Sarkozy ne pese aucun poids dans la balance, la France-Israel souhaitant donc montrer qu'elle a su conserver le pré-carré africain et que Sarkozy controle toujours le DRS algérien et ce meme apres la mort de Larbi Belkheir, créateur des GIAs et pere de la guerre civile algérienne pour le compte des services francais, celui la meme qui a installé Tewfik et Smain Lamari. Malheureusement pour eux, sont venus se greffer de multiples faux groupes financés et appuyés par des reseaux anglais, americains, israeliens, qui eux aussi ont leur ramification et leurs liens dans le DRS-DST a Alger.

Chacun faisant jouer ses réseaux, au final ce sont les reseaux Kharroubi,-Attafi, dit Kherfi, qui affrontent les reseaux Tewfik.... chacun monnayant ses services au plus offrant pour rester en place car dans les chancelleries occidentales il ne fait plus aucun doute, l'Algerie est passée sous controle 'islamique', Sarkozy tente de se replacer militairement dans la région en devancant le changement radical et inévitable au maghreb pour eviter les désagrements qui ont lieu en Guinee, au Cameroun, en RDC ou les 'nouveaux regimes' se tournent vers l'argent chinois pour sortir de la spirale de la domination coloniale raciste de la France-Israel, c'est deja le cas en partie au maghreb mais les decrets cremieux de France savent qu'ils ne font pas le poids face a la puissance economique chinoise... Au final ceux qui pensent que le DRS-DST protege les interets algériens ne sont que des fous, sa tete ne faisant que monnayer la securite des gisements d'hydrocarbures et de minerais rares du peuple algérien, aux voleurs de la France-Israel, et s'assure (ndlr: la tete du DRS-DST) que tout ce qui a été volé durant le reigne de Larbi Belkheir (depuis pres de 30 ans) reste sous controle de la France-Israel....

Les israeliens ne perdant rien dans la région puisqu'ayant le controle et la supervision depuis les reseaux elyseens de la France-Israel-Algerie, a l'interieur du DRS-DST et par l'entremise d'Ouyahia qui est un agent de la DST comme Tewfik le rebel, les reseaux Balkany et ceux du MEDEF, par Dov Zerah nouvellement installé par Sarkozy. Bernard Squarcini de la DCRI, qui chapote les prises d'otages avec Bernard Bajolet (coordinateur du renseignement a l'elysée), sur conseils non avisés de Claude Guéant (conseiller principal de Sarkozy, un illuminé raciste qui a fait carriere dans les valises du criminel Pasqua), le diplomate Levitte (tres proche du cabinet Netanyahu) et enfin Herve Morin, ministre de la défense, dont le pro-sionisme tapageur fait des ravages a l'interieur de son ministere (affaire Chauprade), tout ce beau monde issu de la mafia israelienne, ou ayant fait carriere grace au lobby qui n'existe pas en France... La sécurité d'Areva étant assurée par des barbouzes des services francais... CQFD


NIGER - La sécurité d'Areva entièrement assurée par d'anciens militaires français
Par Jean Guisnel, Le Point, 20 septembre 2010
La sécurité des Français travaillant au Niger pour Areva est une affaire quasi exclusivement militaire. On le sait pour le côté nigérien, dès lors qu'Areva a signé un accord-cadre avec Niamey. Celui-ci dispose que les forces armées nigériennes assurent la sécurité armée des installations industrielles françaises. Du côté français, la sécurité est aux mains d'un ancien militaire, l'amiral Thierry d'Arbonneau. L'ancien patron des forces océaniques stratégiques (2002-2004), c'est-à-dire des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins français, est demeuré l'un des patrons de ce puissant lobby. Il devient ensuite conseiller du gouvernement pour la défense (2004-2005), avant de rejoindre en 2005 Areva, pour y devenir directeur de la protection du patrimoine et des personnes.


En avril 2007, un camp de géologues d'Areva est attaqué à Imouraren par le Mouvement des Nigériens pour la justice (MNJ), soutenu par le colonel Kadhafi. La décision est alors prise par Areva de reprendre complètement les affaires de sécurité, et de confier sur ce plan les relations avec l'État nigérien à une société de conseil, Epée, dirigée par le colonel Jacques Hogard, un colonel parachutiste légionnaire, qui a fait une grande part de sa carrière au 2e régiment étranger de parachutistes. Sa première décision consistera à embaucher l'ancien attaché de défense français à Niamey, le colonel Gilles Denamur. Connaissant parfaitement le terrain, en contact avec tous les groupes touaregs, celui-ci part dès sa nomination pour le nord du pays, sans prendre l'attache du régime du président Mamadou Tandja. La réponse est immédiate : il est expulsé, tout comme le directeur local d'Areva, l'ancien membre de la cellule africaine de l'Élysée de l'ère Mitterrand, Dominique Pin.


À la suite de ces incidents, une organisation nouvelle a été mise en place en relation d'une part avec Thierry d'Arbonneau et d'autre part avec le pouvoir en place à Niamey. À savoir Mamadou Tandja jusqu'au 18 février 2010, date de son renversement lors d'un putsch militaire. Depuis sept mois, des relations qualifiées de "normales et sans histoires" par une source proche d'Areva ont été établies "dans la continuité", avec le régime du Premier ministre Mahamadou Danda, mis en place par le Conseil suprême pour la restauration de la démocratie.
Chiffon rouge
Le dispositif qu'Epée a mis en place pour Areva repose sur un "conseiller coordinateur de la protection", un officier supérieur français en retraite, issu des troupes de marine "car il connaît par définition la région, son environnement et ses réseaux", confie un cadre d'Epée. Il s'agit actuellement d'une figure des troupes de marine, Benoît de Rambures. Ancien du "3" et du "8", à savoir les 3e régiment parachutiste d'infanterie de marine et 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine, il est aussi connu pour avoir aidé l'armée mauritanienne à constituer une troupe méhariste, le groupement nomade mauritanien. L'adjoint de cet officier français est systématiquement un officier supérieur en retraite, issu de l'armée nigérienne, au motif que "c'est utile pour la relation avec les forces armées nigériennes, tout en garantissant à ces dernières une transparence absolue sur le rôle d'Epée auprès d'Areva." Nommé sous la présidence de Mamadou Tandja, ce cadre nigérien a été confirmé depuis par la junte militaire au pouvoir à Niamey.


Enfin, Epée dispose sur place de cinq anciens officiers subalternes ou sous-officiers français, tous légionnaires, tous parachutistes, tous issus des rangs du 2e REP. Ces "coordinateurs locaux de protection" assurent les liaisons avec les unités militaires nigériennes sur le terrain, animent des réseaux de correspondants et font remonter l'information. Une pratique d'excellence de la Légion étrangère, mise au profit d'Areva.


Depuis octobre 2009, Epée "agite le chiffon rouge avec insistance", affirme une source proche de la société, qui s'indigne : "Ce drame était prévisible et même prévu. Pour Epée, l'essentiel était d'obtenir une présence militaire française dans la région, car à menace militaire il faut une réponse militaire. Les forces armées nigériennes sont de grande qualité, mais elles ne disposent pas de forces spéciales." Epée n'a pas su faire valoir ses arguments, ni auprès d'Areva ni auprès du gouvernement français, et le regrette aujourd'hui amèrement.

http://www.algeria-watch.org/fr/article/pol/geopolitique/securite_areva.htm

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Que cache «la réaction rapide et inconditionnelle» de la France dans la zone du Sahel et la mobilisation d’une centaine de militaires?
«Les actions que mène la France au Sahel commencent à livrer leur secret et l’enjeu devient plus clair», nous ont confié, hier en exclusivité à L’Expression, des sources très au fait du dossier et de ce qui se prépare dans la région. L’énigme révélée par nos sources s’avère «la présence parmi les sept otages enlevés jeudi dernier au nord du Niger, d’un agent des services de renseignements français appartenant à la DST».
La présence de l’agent de la DST parmi les otages change totalement la donne et explique, en partie, la réaction à la fois «furieuse et rapide» des autorités françaises quitte à embraser la région. «L’agent en question a été injecté dans la région dans l’objectif d’infiltrer le réseau terroriste agissant au profit de ce qu’on appelle Al Qaîda au Maghreb islamique», précisent nos sources. «La France a sollicité l’aide des Américains de façon officielle», ajoutent encore nos sources, précisant que «derrière cette approche se cache l’autorisation des Américains aux Français d’intervenir en territoire sahélien, qui va permettre par la suite à ces mêmes Américains de mobiliser leurs troupes dans la région et d’en faire un second Irak ou un second Afghanistan». L’enjeu est donc, toujours selon nos sources, très grave et se traduit par la trahison tout simplement des Accords d’Alger, par la Mauritanie et le Mali. Ces accords ont été convenus dans la capitale algérienne, le mois de mars dernier, et entrent dans le cadre d’une lutte commune contre le terrorisme et le crime organisé regroupant les réseaux qui s’adonnent à tous genres de trafics. Mais il fallait entraîner le Niger dans ce projet qui se concrétise avec cette prise d’otages. C’est dire que les complicités sont d’un très haut niveau, qui vont, non seulement servir les intérêts des réseaux terroristes, des narcotrafiquants et contrebandiers, mais à coup sûr, les intérêts des Occidentaux, les Américains y compris. Sachant parfaitement que la France exploite un gisement d’uranium par le biais de sa compagnie Aréva installée à Arlit au nord du Niger. Le pire que craignent les services de sécurité algériens, consiste en un recrutement «massif de hors-la-loi» au sein des réseaux terroristes, un fait qui intervient systématiquement suite à cette ingérence imposée dans la région. L’Algérie avait anticipé en regroupant les pays du Sahel pour une action commune et concertée dans la lutte contre le terrorisme dans la bande du Sahel et tenter par tous les moyens légaux d’éviter une ingérence étrangère. Mais, a priori, nos voisins ne l’entendent pas de cette oreille. Fascinés certainement par la présence d’une seconde force jumelée France-USA, la Mauritanie et le Mali livrent la région à une occupation étrangère.
L’Algérie est directement concernée par ce qui se passe, puisque les faits se déroulent dans une région limitrophe. Des renseignements collectés, que nos sources prennent avec beaucoup de réserve, font état aussi que l’on cherche à provoquer une réaction de Mokhtar Benmokhtar, qui reste loin de ce qui se passe, même s’il y est mêlé indirectement, afin de légitimer une intervention militaire occidentale. MBM a échappé à plusieurs reprises aux pièges qui lui ont été tendus par les forces américaines, car non seulement il représente une véritable source d’information, mais aussi parce qu’il contrôle un important nombre de tribus touarègues.
Et c’est dans ce contexte que les ravisseurs affiliés à la présumée branche d’Al Qaîda au Maghreb islamique revendiquent l’opération du rapt perpétré le 16 septembre dernier, soulignant dans un message audio lu par un porte-parole répondant au nom de Salah Abou Mohamed, que les auteurs du kidnapping, Abou Zeïd avec l’aide précieuse d’un certain Ag Amnoukal, allaient faire part à Paris de leurs demandes. Ils mettent en garde, dans le même message, le gouvernement français quant à une tentative d’intervention militaire, comme celle menée pour libérer Michel Germaneau.
Aujourd’hui, la France sollicite, selon des responsables américains, l’aide de l’armée US prétextant une volonté de localiser l’endroit où sont séquestrés les otages par l’imagerie satellitaire.
Aucune autre information n’a filtré à ce sujet, sauf qu’on sait que si cette action est entreprise par les Américains, elle n’épargnera pas l’Algérie du fait que les otages sont maintenus dans un endroit non loin des frontières algériennes.
Toute la panique qui s’est emparée de la France cache bien des dessous, même si de nombreux officiels français ne cessent d’alerter que l’Hexagone fait face à un véritable pic de menace terroriste.
Point également évoqué, hier, par le directeur général de la police nationale française, Frédéric Péchenard. Ce dernier, intervenant sur les ondes de la Radio RTL, souligne, se fiant à l’information rapportée par des sources sécuritaires algériennes, l’existence d’un éventuel attentat-suicide.
«Nous avons des indications sérieuses émanant de renseignements fiables, nous disant qu’il y a un risque d’attentat important» et de poursuivre: «Nous avons actuellement un pic de menace qui est incontestable. A l’heure où je vous parle, il y a une menace spécifique contre les intérêts français» a-t-il averti.
Par ailleurs, l’on sait que lors d’une réunion d’un conseil restreint, mardi, présidé par Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur français a reçu pour mission de se déplacer au Mali dans la soirée.
La France a été rassurée sur la vie de ses ressortissants, selon les dernières informations parvenues à l’Elysée. Et sans aucun doute, elle fera tout pour libérer les otages, surtout que maintenant on sait qu’une grosse pointure figure parmi les sept victimes.
Ikram GHIOUA...l'expression.
http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-181873.html

publié sur romandie blog le 12/01/2011 00:17

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