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Le prince Charles et son épouse Camilla à la base militaire de Gagetown, au Nouveau-Brunswick.
Photo: Reuters
La Presse Canadienne
Le prince Charles et son épouse
Camilla ont commencé lundi leur visite au Canada à la base militaire de
Gagetown, au Nouveau-Brunswick, où le duc de Cornouailles avait suivi
sa formation de pilote de l'armée de l'air.
Le
prince s'est dit ravi de commencer son voyage à la base où, dans les
années 1970, il s'était entraîné en tant que pilote d'hélicoptère naval.
Une base qu'il a qualifiée à la blague de «zone d'exercices au milieu
de nulle part».
Le gouverneur général, David Johnston, le ministre du Patrimoine, James
Moore, et le premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, ont
accueilli le couple sous un ciel ensoleillé, après le salut officiel de
21 coups de canon.
Dans une allocution, le prince Charles a vanté les vertus du service à
la collectivité -un thème dominant de la visite du couple princier dans
le cadre du jubilé de diamant de la reine Élizabeth II.
Plus tard lundi, Charles et Camilla doivent assister à une cérémonie de
remise des certificats de citoyenneté pour 12 nouveaux Canadiens -deux
pour chaque décennie de règne de la reine. Le couple se joindra ensuite à
des Canadiens qui célébreront la fête de Victoria à Saint-Jean.
Le prince Charles et son épouse visiteront ensuite l'école Hazen
White-St.Francis, une école primaire qui accueille environ 145 élèves,
dont une majorité issue de familles à faible revenu, après quoi ils
s'envoleront pour Toronto, où ils pourront admirer des feux d'artifice
en soirée.
Mardi, le gouvernement de l'Ontario sera l'hôte d'une réception donnée
en l'honneur du couple, dans le district historique de Distiller. Le
prince visitera par la suite la Yonge Street Mission.
Ils partiront de Toronto, mardi soir, en direction de Regina. Le
lendemain, le prince Charles aura une audience privée avec le premier
ministre Stephen Harper, puis le couple assistera à un concert de
l'Orchestre symphonique de Regina, juste la fin de leur visite au
Canada.
La Grande-Bretagne pourrait conserver un petit nombre de soldats en Afghanistan pour lutter contre le terrorisme après 2014, date prévue pour le départ des troupes de combat de l'Otan, a déclaré samedi un haut responsable du gouvernement britannique.
C'est la première fois que la Grande-Bretagne, qui
dispose de la deuxième force de combat en Afghanistan derrière les
Etats-Unis, laisse entrevoir qu'elle pourrait conserver des forces en
Afghanistan après 2014, en dehors d'un petit contingent dédié à
l'entraînement.
"La majorité des forces qui resteront en Afghanistan
auront un rôle d'entraînement et de conseil", a déclaré le responsable
qui n'a pas souhaité être cité, avant le début dimanche du sommet de
l'Otan, qui traitera essentiellement de l'Afghanistan.
"Mais je n'exclurais pas qu'un petit nombre de soldats
puissent jouer un rôle de lutte contre le terrorisme, si nécessaire.
Cela correspondrait à la façon dont nous travaillons pour nous protéger
de la menace terroriste venant d'autres parties du monde, comme de la
péninsule arabique", a-t-il ajouté.
Le gouvernement britannique prévoit de retirer 500 de
ses 9.500 soldats stationnés en Afghanistan cette année, mais n'a pas
encore décidé combien partiront en 2013 et 2014.
Adrian Croft, Hélène Duvigneau pour le service français
En France l'actualité fut marquée par l'ardente lutte électorale entre droite et gauche, Républicains et Démocrates selon la formule consacrée (comme si les uns et les autres n'étaient pas à la fois Républicains et Démocrates) de l'élection présidentielle.
Après 30 ans de présidence Républicaine la France devient Démocrate. Cela soulève de houleuses protestations de la nouvelle opposition.
François Hollande investi le 15 mai sous des averses de grêle a dans la foulée nommé son Premier Ministre Jean-Marc Ayrault puis rencontré Angela Merkel à Berlin après que la foudre a perturbé le vol du falcon présidentiel. Il a ensuite assisté le Conseil des Ministres posé les premiers actes présidentiels, puis a rencontré le président des USA en vu du G8 et du conseil de l'OTAN qui a lieu ce 21 mai. Dans la semaine le dernier prisonnier d'Action Directe arrêté pour les attentats du pdg de Renault a été libéré sous surveillance électronique après plusieurs mois de contrôle et plus de 20 ans de prison.
En Italie l'actualité est différente :
1 -Un attentat à la bombe
La bombe a été déclenchée par le passage des lycéennes
«L'auteur de l'attentat était à une distance suffisante pour voir ce
qui se passait sans être vu», a expliqué le procureur général de
Brindisi, s'appuyant sur des images de caméras de surveillance.
L'enquête, dans le cadre de l'attentat qui a tué une élève et en a blessé cinq autres samedi matin
devant un lycée pour jeunes filles de la ville de Brindisi, dans le
sud-est de l'Italie, avance à grands pas. Le procureur général de
Brindisi Marco di Napoli a expliqué qu'il semblait s'agir d'un acte
isolé et que la piste d'un homme ayant agi seul était privilégiée. «Nous
avons de bonnes images très significatives», a-t-il expliqué. «Il n'est
pas encore identifié, mais nous sommes sur la bonne voie.»
L'homme
aurait disposé sur l'engin infernal un interrupteur capable de «sentir»
les déplacements des personnes. À l'image d'une mine, la bombe aurait
été déclenchée quand les premières adolescentes sont descendues du car
de ramassage scolaire et sont passées devant. L'individu que les
enquêteurs ont vu sur les images de surveillance se trouvait sur les
lieux au moment de l'explosion «à une distance suffisante pour voir ce
qui se passait sans être vu». Il serait italien et avait une bonne
connaissance des habitudes des élèves. Il n'aurait pas agi avec une
télécommande, contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier
temps. Le procureur n'a pas voulu en dire plus pour le moment.
La
bombe, de fabrication artisanale, a explosé vers 7h45 alors que les
élèves arrivaient pour les cours du samedi matin, au lycée professionnel
Morvillo-Falcone, du nom du magistrat sicilien Giovanni Falcone et de
son épouse Francesca Morvillo, tués dans un attentat mafieux en 1992.
Selon les informations de Brindisireport, l'un des hommes est un
ex-militaire de carrière avec des connaissances en électronique et
aurait des proches qui vendent des bonbonnes de gaz à usage domestique.
La police a perquisitionné les domiciles des personnes interrogées.
Un retour aux années de plomb redouté
L'attentat
inédit en Italie pour la cible choisie - une école - et non revendiqué a
provoqué une onde de choc dans tout le pays. Des manifestations ont eu
lieu samedi soir notamment à Rome, Naples, Milan ou Bologne. Les
manifestants ont exprimé la crainte d'une nouvelle vague d'attentats
comme ceux de 1992 et 1993 qui avaient visé les juges anti-mafia Falcone
et Borsellino et des bâtiments publics. Mais beaucoup redoutent aussi
un retour aux années de plomb du terrorisme quand les opérations des
Brigades rouges et du «terrorisme noir» néofasciste firent 415 morts
dans 15.000 attentats entre 1969 et 1988.
Le 7 mai, Roberto
Adinolfi, patron d'Ansaldo Nucleare, une filiale du groupe Finmeccanica,
avait été blessé aux jambes en plein centre de Gênes (nord-ouest) par
des tirs, une agression revendiquée deux jours plus tard par une cellule
du groupuscule anarchiste FAI (Fédération anarchiste informelle) qui a
annoncé avoir sept autres cibles. L'Italie vit une situation
particulière, qualifiée par certains de «vide politique» avec un
gouvernement technique dirigé par l'ex-commissaire européen Mario Monti,
alors que le pays est plongé dans une récession qui a provoqué un
profond malaise social.
source : http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/20/01003-20120520ARTFIG00052-deux-hommes-interroges-apres-l-attentat-a-brindisi.php
2 - Le Nord de l'Italie frappée par un séisme destructeur
Par Stephen Jewkes
Le nord de l'Italie frappé par un séisme, cinq mort
SANT' AGOSTINO, Italie (Reuters) - Un puissant séisme a
fait dimanche cinq morts dans le nord de l'Italie, où de nombreux
édifices historiques, tels que des églises, des campaniles et un château
médiéval, ont été fortement endommagés.
La secousse, de magnitude 6,0 sur l'échelle de Richter,
s'est produite à 04h04, amenant de nombreux habitants paniqués à sortir
de leur domicile en pleine nuit.
Parmi les cinq victimes figure une femme âgée de 106
ans, écrasée par une poutre du toit effondré de sa maison de campagne.
"J'ai 83 ans et je n'ai jamais ressenti une chose
pareille", a déclaré pour sa part Lina Gardenghi, une habitante de
Bondeno.
L'épicentre a été localisé à une profondeur relativement faible de 10 km dans la plaine du Pô, près de Modène.
Le séisme a été ressenti dans plusieurs agglomérations
de la région d'Emilie-Romagne, à Bologne, Modène, Ferrare, mais
également dans les régions voisines de Lombardie et de Vénétie, à
Rovigo, Vérone et Mantoue, et jusqu'en Ligurie, près de la France, et
dans le Frioul frontalier de la Slovénie.
De nombreuses répliques, dont une de magnitude 5,1, ont
continué à ébranler le nord de l'Italie tout au long de la journée,
entraînant l'effondrement d'édifices fragilisés par les secousses
précédentes.
Un ouvrier d'origine marocaine qui travaillait de nuit
dans une usine de polyester a été tué par la chute de débris à Bondeno.
Le séisme s'est produit 56 minutes avant la fin de son service.
Deux hommes, qui travaillaient également de nuit dans
une usine de céramique de Sant' Agostino, ont été tués par la chute de
débris métalliques. Dans cette même ville, un Italien de 57 ans a été
mortellement touché par des chutes de pièces d'une usine sidérurgique.
"Il n'était pas censé travailler. Il avait changé de
poste avec un ami qui voulait se rendre à la plage", a expliqué la mère
de l'un des tués à la télévision.
Deux personnes, dont une Allemande, auraient succombé à
une crise cardiaque provoquée par le séisme et plusieurs dizaines de
personnes souffriraient de blessures légères.
COMMUNION
Les équipes de secours se sont lancés à la recherche
d'éventuels survivants ensevelis sous des décombres. Un pompier a chuté
d'un bâtiment à cause d'une réplique, ont rapporté les chaînes de
télévision.
Les autorités ont évalué à 3.000 le nombre de personnes
privées pour le moment de toit et à Rome, le gouvernement va décréter
un état d'urgence pour pouvoir débloquer des fonds pour la
reconstruction.
Le pape Benoît XVI a adressé une prière pour les victimes dimanche au Vatican.
Le riche patrimoine architectural de l'Italie a subi
les dégâts les plus importants depuis 1997, lorsqu'un tremblement de
terre avait provoqué l'effondrement du plafond de la basilique
Saint-François à Assise.
Principale attraction de San Felice Sul Panaro, commune
proche de l'épicentre, le château Estense, imposant édifice du XIVe
siècle, a été fortement endommagé. Les sommets de plusieurs tours du
château sont tombés et la tour principale, sur laquelle sont apparues
des fissures, menace de s'effondrer.
Trois églises de cette localité ont également été
touchées, abîmant des fresques et d'autres oeuvres d'art vieilles de
plusieurs siècles.
"Nous avons quasiment perdu tout notre patrimoine
culturel", s'est lamenté Alberto Silvestri, maire de cette ville située à
une quarantaine de km au nord-ouest de Bologne. "Des églises et des
tours se sont effondrées. Le théâtre est toujours debout mais il est
fissuré."
Des fissures et un trou béant sont aussi apparus sur
les flancs de l'hôtel de ville de Sant' Agostino, un bâtiment de style
Renaissance dont les autorités craignent qu'il ne s'écroule
complètement. Les rues de la ville, enveloppées d'une odeur de gaz
faisant craindre des explosions, étaient jonchées de débris.
A Finale Emilia, commune de la province de Modène, la tour de l'horloge a été détruite.
Le toit de la cathédrale de Mirandola, commune de
23.000 habitants également située dans la province de Modène, s'est
effondré, empêchant des écoliers d'accomplir leur première communion
prévue lors d'une messe dominicale, a indiqué le prêtre de la paroisse.
Aucun dégât n'a été signalé dans la ville de Bologne, a déclaré un responsable local.
En 2009, l'Italie avait été touchée par un séisme d'une
magnitude 6,3 qui avait fait près de 300 morts dans la ville de
L'Aquila, dans le centre du pays.
Avec Daniele Mari, Philip Pullella et Steve Scherer,
Hélène Duvigneau, Pierre Sérisier, Bertrand Boucey et Jean-Loup Fiévet
pour le service français
source : http://fr.news.yahoo.com/un-fort-s%C3%A9isme-pr%C3%A8s-bologne-fait-quatre-morts-103607122--sector.html
Italie - Forte réplique de magnitude 5,1 près de Ferrare
LePoint.fr
Cette deuxième secousse a encore provoqué des effondrements. Environ 3 000 personnes ont été évacuées pour le moment.
Un séisme de magnitude 5,1 a de nouveau frappé dimanche la zone entourant Ferrare, dans le nord-est de l'Italie,
a annoncé l'institut de géophysique, tandis que 3 000 personnes ont été
jusqu'à présent évacuées de leur domicile, selon la protection civile.
Cette forte réplique du tremblement de terre survenu dans la nuit
s'est produite à 15 h 18 et a duré plusieurs secondes, provoquant
encore des effondrements. Cette secousse a entraîné la chute d'un
pompier du haut d'un mur, près de la tour de l'Horloge à Finale Emilia,
selon les médias italiens. Immédiatement secouru, le pompier a été
transporté à l'hôpital, sans connaissance et dans un état grave, selon
l'agence italienne Ansa. Dans le centre de Sant'Agostino de Ferrare,
près de la grande ville, un autre pan de la mairie, déjà percée de trous
béants, s'est écroulé. Le séisme a aussi été ressenti à Bologne et
Milan.
Pour le moment, selon la protection civile, environ 3 000 personnes
ont dû être évacuées de leurs habitations en Émilie-Romagne, entre
Modène et Ferrare (nord-est de l'Italie) après le fort séisme de
magnitude 6 qui a frappé la zone dimanche matin, a annoncé la protection
civile. La plupart des évacués, 2 500, se trouvent dans la région de
Modène alors que 500 sont dans le département de Ferrare. Le séisme a
aussi contraint les autorités à évacuer 500 détenus de la prison de
Ferrare. Le premier séisme, de magnitude révisée à 6, a été enregistré
par l'Institut national de géophysique à 4 h 4. Il est survenu à 5,1 km
de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36
kilomètres au nord de Bologne.
source : http://www.lepoint.fr/monde/italie-nouveau-seisme-de-magnitude-5-1-pres-de-ferrare-20-05-2012-1463323_24.php
3 - Autres drames en France
Accident de rallye : le pilote et le copilote en garde à vue
Les enquêteurs tentent de comprendre comment leur voiture a pu
manquer de tourner et foncer dans la foule samedi, faisant deux morts et
dix-neuf blessés.
Le pilote et le copilote de la voiture qui a foncé dans la foule samedi au
Rallye des Maures dans le Var, faisant deux morts et dix-neuf blessés,
ont été placés en garde à vue dimanche. Les deux hommes, qui avaient été
hospitalisés samedi, l'un en état de choc, l'autre blessé au thorax,
ont été transférés en début d'après-midi à la compagnie de gendarmerie
de Gassin-Saint-Tropez pour être entendus dans le cadre de l'enquête
ouverte par le parquet de Draguignan.
Les enquêteurs tentent de
comprendre comment la voiture, neuve et pilotée par ce binôme
expérimenté, a pu manquer de tourner et foncer dans la foule. «Est-ce
une défaillance mécanique, une défaillance du pilote ou du copilote?», a
expliqué la procureure de Draguignan Danielle Drouy-Ayral.
Le
drame s'est produit samedi vers 16h30, aux abords du village de
Plan-de-la-Tour, au premier jour du Rallye du pays des Maures. La
voiture n°63, une Golf orange, a foncé sur la foule au lieu de tourner à
droite et a ainsi heurté les spectateurs qui étaient derrière les
rubans de sécurité. Certains d'entre eux ont été projetés à plusieurs
mètres dans un champ de vignes.
Un homme de 20 ans et un
commissaire de course de 50 ans ont été tués. Dix-neuf personnes ont été
blessées, la plus jeune étant un garçon de neuf ans. Parmi elles, cinq
se trouvaient en «urgence absolue» après l'accident, avec un pronostic
vital engagé, notamment deux mineurs de 12 et 17 ans. Les victimes ont
été transférées dans des hôpitaux de la région. À Marseille, un enfant
admis en chirurgie à l'Hôpital-Nord, et dont le pronostic vital n'est
pas engagé, devrait être rapatrié lundi chez lui à Nice.
«Des pilotes d'expérience»
Des
prélèvements pour bilan de toxicologie et d'alcoolémie ont été réalisés
sur le pilote et le copilote, dont les résultats n'étaient pas connus
dans l'immédiat. Les deux hommes, nés en 1968, sont expérimentés et
«pratiquent depuis une quinzaine d'années ce genre de sport», a indiqué
la procureure.
Parmi les pistes envisagées, figure une possible
erreur de lecture du road-book par le copilote. L'enquête devra
également se pencher sur l'organisation du rallye et savoir si toutes
les mesures (dossier, placement des panneaux et balises, repérages)
avaient été respectées.
Une autre piste est celle de «la
défaillance technique», a encore énuméré la procureure. «Nous allons
saisir des experts incontestables pour des analyses poussées, notamment
sur les métaux, pour savoir s'il y a eu des ruptures (avant le choc), ou
si l'état de la voiture fait suite au choc», a-t-elle dit. La voiture
sera examinée lundi.
La ministre des Sports, Valérie Fourneyron, a
promis dimanche un «travail de fond» sur la sécurité des épreuves
automobiles, tout en assurant qu'il n'était pas question de prendre des
«mesures intempestives». Elle rencontrera la semaine prochaine le
ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, et le président de la Fédération
française du sport automobile, Nicolas Deschaux, pour «regarder ensemble la réglementation et la sécurisation du
public», s'interrogeant sur la pérennité et la suffisance des dernières
mesures adoptées en 2007.