lundi 21 mai 2012

Le Prince Charles à la base militaire de Gageown avant le jubilé de la reine sur le thème de la collectivité

Le prince Charles amorce sa visite au Canada


Le prince Charles et son épouse Camilla à... (Photo: Reuters)
 Le prince Charles et son épouse Camilla à la base militaire de Gagetown, au Nouveau-Brunswick.
Photo: Reuters

La Presse Canadienne
Le prince Charles et son épouse Camilla ont commencé lundi leur visite au Canada à la base militaire de Gagetown, au Nouveau-Brunswick, où le duc de Cornouailles avait suivi sa formation de pilote de l'armée de l'air.
Le prince s'est dit ravi de commencer son voyage à la base où, dans les années 1970, il s'était entraîné en tant que pilote d'hélicoptère naval. Une base qu'il a qualifiée à la blague de «zone d'exercices au milieu de nulle part».
Le gouverneur général, David Johnston, le ministre du Patrimoine, James Moore, et le premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, ont accueilli le couple sous un ciel ensoleillé, après le salut officiel de 21 coups de canon.
Dans une allocution, le prince Charles a vanté les vertus du service à la collectivité -un thème dominant de la visite du couple princier dans le cadre du jubilé de diamant de la reine Élizabeth II.
Plus tard lundi, Charles et Camilla doivent assister à une cérémonie de remise des certificats de citoyenneté pour 12 nouveaux Canadiens -deux pour chaque décennie de règne de la reine. Le couple se joindra ensuite à des Canadiens qui célébreront la fête de Victoria à Saint-Jean.
Le prince Charles et son épouse visiteront ensuite l'école Hazen White-St.Francis, une école primaire qui accueille environ 145 élèves, dont une majorité issue de familles à faible revenu, après quoi ils s'envoleront pour Toronto, où ils pourront admirer des feux d'artifice en soirée.
Mardi, le gouvernement de l'Ontario sera l'hôte d'une réception donnée en l'honneur du couple, dans le district historique de Distiller. Le prince visitera par la suite la Yonge Street Mission.
Ils partiront de Toronto, mardi soir, en direction de Regina. Le lendemain, le prince Charles aura une audience privée avec le premier ministre Stephen Harper, puis le couple assistera à un concert de l'Orchestre symphonique de Regina, juste la fin de leur visite au Canada.

source :  http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201205/21/01-4527211-le-prince-charles-amorce-sa-visite-au-canada.php

Londres pourrait maintenir des soldats en Afghanistan après 2014

CAMP ROUND MEADOW, Maryland (Reuters) - 

La Grande-Bretagne pourrait conserver un petit nombre de soldats en Afghanistan pour lutter contre le terrorisme après 2014, date prévue pour le départ des troupes de combat de l'Otan, a déclaré samedi un haut responsable du gouvernement britannique.

C'est la première fois que la Grande-Bretagne, qui dispose de la deuxième force de combat en Afghanistan derrière les Etats-Unis, laisse entrevoir qu'elle pourrait conserver des forces en Afghanistan après 2014, en dehors d'un petit contingent dédié à l'entraînement.

"La majorité des forces qui resteront en Afghanistan auront un rôle d'entraînement et de conseil", a déclaré le responsable qui n'a pas souhaité être cité, avant le début dimanche du sommet de l'Otan, qui traitera essentiellement de l'Afghanistan.

"Mais je n'exclurais pas qu'un petit nombre de soldats puissent jouer un rôle de lutte contre le terrorisme, si nécessaire. Cela correspondrait à la façon dont nous travaillons pour nous protéger de la menace terroriste venant d'autres parties du monde, comme de la péninsule arabique", a-t-il ajouté.

Le gouvernement britannique prévoit de retirer 500 de ses 9.500 soldats stationnés en Afghanistan cette année, mais n'a pas encore décidé combien partiront en 2013 et 2014.

Adrian Croft, Hélène Duvigneau pour le service français

dimanche 20 mai 2012

Semaine de l'Ascension chargée en événements

En France l'actualité fut marquée par l'ardente lutte électorale entre droite et gauche, Républicains et Démocrates selon la formule consacrée (comme si les uns et les autres n'étaient pas à la fois Républicains et Démocrates) de l'élection présidentielle.

Après 30 ans de présidence Républicaine la France devient Démocrate. Cela soulève de houleuses protestations de la nouvelle opposition.

François Hollande investi le 15 mai sous des averses de grêle a dans la foulée nommé son Premier Ministre Jean-Marc Ayrault puis rencontré Angela Merkel à Berlin après que la foudre a perturbé le vol du falcon présidentiel. Il a ensuite assisté le Conseil des Ministres posé les premiers actes présidentiels, puis a rencontré le président des USA en vu du G8 et du conseil de l'OTAN qui a lieu ce 21 mai. Dans la semaine le dernier prisonnier d'Action Directe arrêté pour les attentats du pdg de Renault a été libéré sous surveillance électronique après plusieurs mois de contrôle et plus de 20 ans de prison.

En Italie l'actualité est différente :

1 -Un attentat à la bombe

La bombe a été déclenchée par le passage des lycéennes

«L'auteur de l'attentat était à une distance suffisante pour voir ce qui se passait sans être vu», a expliqué le procureur général de Brindisi, s'appuyant sur des images de caméras de surveillance.

L'enquête, dans le cadre de l'attentat qui a tué une élève et en a blessé cinq autres samedi matin devant un lycée pour jeunes filles de la ville de Brindisi, dans le sud-est de l'Italie, avance à grands pas. Le procureur général de Brindisi Marco di Napoli a expliqué qu'il semblait s'agir d'un acte isolé et que la piste d'un homme ayant agi seul était privilégiée. «Nous avons de bonnes images très significatives», a-t-il expliqué. «Il n'est pas encore identifié, mais nous sommes sur la bonne voie.»
L'homme aurait disposé sur l'engin infernal un interrupteur capable de «sentir» les déplacements des personnes. À l'image d'une mine, la bombe aurait été déclenchée quand les premières adolescentes sont descendues du car de ramassage scolaire et sont passées devant. L'individu que les enquêteurs ont vu sur les images de surveillance se trouvait sur les lieux au moment de l'explosion «à une distance suffisante pour voir ce qui se passait sans être vu». Il serait italien et avait une bonne connaissance des habitudes des élèves. Il n'aurait pas agi avec une télécommande, contrairement à ce qui avait été affirmé dans un premier temps. Le procureur n'a pas voulu en dire plus pour le moment.
La bombe, de fabrication artisanale, a explosé vers 7h45 alors que les élèves arrivaient pour les cours du samedi matin, au lycée professionnel Morvillo-Falcone, du nom du magistrat sicilien Giovanni Falcone et de son épouse Francesca Morvillo, tués dans un attentat mafieux en 1992. Selon les informations de Brindisireport, l'un des hommes est un ex-militaire de carrière avec des connaissances en électronique et aurait des proches qui vendent des bonbonnes de gaz à usage domestique. La police a perquisitionné les domiciles des personnes interrogées.

Un retour aux années de plomb redouté

L'attentat inédit en Italie pour la cible choisie - une école - et non revendiqué a provoqué une onde de choc dans tout le pays. Des manifestations ont eu lieu samedi soir notamment à Rome, Naples, Milan ou Bologne. Les manifestants ont exprimé la crainte d'une nouvelle vague d'attentats comme ceux de 1992 et 1993 qui avaient visé les juges anti-mafia Falcone et Borsellino et des bâtiments publics. Mais beaucoup redoutent aussi un retour aux années de plomb du terrorisme quand les opérations des Brigades rouges et du «terrorisme noir» néofasciste firent 415 morts dans 15.000 attentats entre 1969 et 1988.
Le 7 mai, Roberto Adinolfi, patron d'Ansaldo Nucleare, une filiale du groupe Finmeccanica, avait été blessé aux jambes en plein centre de Gênes (nord-ouest) par des tirs, une agression revendiquée deux jours plus tard par une cellule du groupuscule anarchiste FAI (Fédération anarchiste informelle) qui a annoncé avoir sept autres cibles. L'Italie vit une situation particulière, qualifiée par certains de «vide politique» avec un gouvernement technique dirigé par l'ex-commissaire européen Mario Monti, alors que le pays est plongé dans une récession qui a provoqué un profond malaise social.
source :  http://www.lefigaro.fr/international/2012/05/20/01003-20120520ARTFIG00052-deux-hommes-interroges-apres-l-attentat-a-brindisi.php

2 - Le Nord de l'Italie frappée par un séisme destructeur

Le nord de l'Italie frappé par un séisme, cinq mort

SANT' AGOSTINO, Italie (Reuters) - Un puissant séisme a fait dimanche cinq morts dans le nord de l'Italie, où de nombreux édifices historiques, tels que des églises, des campaniles et un château médiéval, ont été fortement endommagés.
La secousse, de magnitude 6,0 sur l'échelle de Richter, s'est produite à 04h04, amenant de nombreux habitants paniqués à sortir de leur domicile en pleine nuit.
Parmi les cinq victimes figure une femme âgée de 106 ans, écrasée par une poutre du toit effondré de sa maison de campagne.
"J'ai 83 ans et je n'ai jamais ressenti une chose pareille", a déclaré pour sa part Lina Gardenghi, une habitante de Bondeno.
L'épicentre a été localisé à une profondeur relativement faible de 10 km dans la plaine du Pô, près de Modène.
Le séisme a été ressenti dans plusieurs agglomérations de la région d'Emilie-Romagne, à Bologne, Modène, Ferrare, mais également dans les régions voisines de Lombardie et de Vénétie, à Rovigo, Vérone et Mantoue, et jusqu'en Ligurie, près de la France, et dans le Frioul frontalier de la Slovénie.
De nombreuses répliques, dont une de magnitude 5,1, ont continué à ébranler le nord de l'Italie tout au long de la journée, entraînant l'effondrement d'édifices fragilisés par les secousses précédentes.
Un ouvrier d'origine marocaine qui travaillait de nuit dans une usine de polyester a été tué par la chute de débris à Bondeno. Le séisme s'est produit 56 minutes avant la fin de son service.
Deux hommes, qui travaillaient également de nuit dans une usine de céramique de Sant' Agostino, ont été tués par la chute de débris métalliques. Dans cette même ville, un Italien de 57 ans a été mortellement touché par des chutes de pièces d'une usine sidérurgique.
"Il n'était pas censé travailler. Il avait changé de poste avec un ami qui voulait se rendre à la plage", a expliqué la mère de l'un des tués à la télévision.
Deux personnes, dont une Allemande, auraient succombé à une crise cardiaque provoquée par le séisme et plusieurs dizaines de personnes souffriraient de blessures légères.
COMMUNION
Les équipes de secours se sont lancés à la recherche d'éventuels survivants ensevelis sous des décombres. Un pompier a chuté d'un bâtiment à cause d'une réplique, ont rapporté les chaînes de télévision.
Les autorités ont évalué à 3.000 le nombre de personnes privées pour le moment de toit et à Rome, le gouvernement va décréter un état d'urgence pour pouvoir débloquer des fonds pour la reconstruction.
Le pape Benoît XVI a adressé une prière pour les victimes dimanche au Vatican.
Le riche patrimoine architectural de l'Italie a subi les dégâts les plus importants depuis 1997, lorsqu'un tremblement de terre avait provoqué l'effondrement du plafond de la basilique Saint-François à Assise.
Principale attraction de San Felice Sul Panaro, commune proche de l'épicentre, le château Estense, imposant édifice du XIVe siècle, a été fortement endommagé. Les sommets de plusieurs tours du château sont tombés et la tour principale, sur laquelle sont apparues des fissures, menace de s'effondrer.
Trois églises de cette localité ont également été touchées, abîmant des fresques et d'autres oeuvres d'art vieilles de plusieurs siècles.
"Nous avons quasiment perdu tout notre patrimoine culturel", s'est lamenté Alberto Silvestri, maire de cette ville située à une quarantaine de km au nord-ouest de Bologne. "Des églises et des tours se sont effondrées. Le théâtre est toujours debout mais il est fissuré."
Des fissures et un trou béant sont aussi apparus sur les flancs de l'hôtel de ville de Sant' Agostino, un bâtiment de style Renaissance dont les autorités craignent qu'il ne s'écroule complètement. Les rues de la ville, enveloppées d'une odeur de gaz faisant craindre des explosions, étaient jonchées de débris.
A Finale Emilia, commune de la province de Modène, la tour de l'horloge a été détruite.
Le toit de la cathédrale de Mirandola, commune de 23.000 habitants également située dans la province de Modène, s'est effondré, empêchant des écoliers d'accomplir leur première communion prévue lors d'une messe dominicale, a indiqué le prêtre de la paroisse.
Aucun dégât n'a été signalé dans la ville de Bologne, a déclaré un responsable local.
En 2009, l'Italie avait été touchée par un séisme d'une magnitude 6,3 qui avait fait près de 300 morts dans la ville de L'Aquila, dans le centre du pays.
Avec Daniele Mari, Philip Pullella et Steve Scherer, Hélène Duvigneau, Pierre Sérisier, Bertrand Boucey et Jean-Loup Fiévet pour le service français
source : http://fr.news.yahoo.com/un-fort-s%C3%A9isme-pr%C3%A8s-bologne-fait-quatre-morts-103607122--sector.html

Italie - Forte réplique de magnitude 5,1 près de Ferrare



Cette deuxième secousse a encore provoqué des effondrements. Environ 3 000 personnes ont été évacuées pour le moment. 

Un séisme de magnitude 5,1 a de nouveau frappé dimanche la zone entourant Ferrare, dans le nord-est de l'Italie, a annoncé l'institut de géophysique, tandis que 3 000 personnes ont été jusqu'à présent évacuées de leur domicile, selon la protection civile.
Cette forte réplique du tremblement de terre survenu dans la nuit s'est produite à 15 h 18 et a duré plusieurs secondes, provoquant encore des effondrements. Cette secousse a entraîné la chute d'un pompier du haut d'un mur, près de la tour de l'Horloge à Finale Emilia, selon les médias italiens. Immédiatement secouru, le pompier a été transporté à l'hôpital, sans connaissance et dans un état grave, selon l'agence italienne Ansa. Dans le centre de Sant'Agostino de Ferrare, près de la grande ville, un autre pan de la mairie, déjà percée de trous béants, s'est écroulé. Le séisme a aussi été ressenti à Bologne et Milan.
Pour le moment, selon la protection civile, environ 3 000 personnes ont dû être évacuées de leurs habitations en Émilie-Romagne, entre Modène et Ferrare (nord-est de l'Italie) après le fort séisme de magnitude 6 qui a frappé la zone dimanche matin, a annoncé la protection civile. La plupart des évacués, 2 500, se trouvent dans la région de Modène alors que 500 sont dans le département de Ferrare. Le séisme a aussi contraint les autorités à évacuer 500 détenus de la prison de Ferrare. Le premier séisme, de magnitude révisée à 6, a été enregistré par l'Institut national de géophysique à 4 h 4. Il est survenu à 5,1 km de profondeur. Son épicentre a été localisé à Finale Emilia, à 36 kilomètres au nord de Bologne.
source :  http://www.lepoint.fr/monde/italie-nouveau-seisme-de-magnitude-5-1-pres-de-ferrare-20-05-2012-1463323_24.php

3 - Autres drames en France

Accident de rallye : le pilote et le copilote en garde à vue


Par lefigaro.fr Mis à jour | publié

Les enquêteurs tentent de comprendre comment leur voiture a pu manquer de tourner et foncer dans la foule samedi, faisant deux morts et dix-neuf blessés.
Le pilote et le copilote de la voiture qui a foncé dans la foule samedi au Rallye des Maures dans le Var, faisant deux morts et dix-neuf blessés, ont été placés en garde à vue dimanche. Les deux hommes, qui avaient été hospitalisés samedi, l'un en état de choc, l'autre blessé au thorax, ont été transférés en début d'après-midi à la compagnie de gendarmerie de Gassin-Saint-Tropez pour être entendus dans le cadre de l'enquête ouverte par le parquet de Draguignan.
Les enquêteurs tentent de comprendre comment la voiture, neuve et pilotée par ce binôme expérimenté, a pu manquer de tourner et foncer dans la foule. «Est-ce une défaillance mécanique, une défaillance du pilote ou du copilote?», a expliqué la procureure de Draguignan Danielle Drouy-Ayral.
Le drame s'est produit samedi vers 16h30, aux abords du village de Plan-de-la-Tour, au premier jour du Rallye du pays des Maures. La voiture n°63, une Golf orange, a foncé sur la foule au lieu de tourner à droite et a ainsi heurté les spectateurs qui étaient derrière les rubans de sécurité. Certains d'entre eux ont été projetés à plusieurs mètres dans un champ de vignes.
Un homme de 20 ans et un commissaire de course de 50 ans ont été tués. Dix-neuf personnes ont été blessées, la plus jeune étant un garçon de neuf ans. Parmi elles, cinq se trouvaient en «urgence absolue» après l'accident, avec un pronostic vital engagé, notamment deux mineurs de 12 et 17 ans. Les victimes ont été transférées dans des hôpitaux de la région. À Marseille, un enfant admis en chirurgie à l'Hôpital-Nord, et dont le pronostic vital n'est pas engagé, devrait être rapatrié lundi chez lui à Nice.

«Des pilotes d'expérience»

Des prélèvements pour bilan de toxicologie et d'alcoolémie ont été réalisés sur le pilote et le copilote, dont les résultats n'étaient pas connus dans l'immédiat. Les deux hommes, nés en 1968, sont expérimentés et «pratiquent depuis une quinzaine d'années ce genre de sport», a indiqué la procureure.
Parmi les pistes envisagées, figure une possible erreur de lecture du road-book par le copilote. L'enquête devra également se pencher sur l'organisation du rallye et savoir si toutes les mesures (dossier, placement des panneaux et balises, repérages) avaient été respectées.
Une autre piste est celle de «la défaillance technique», a encore énuméré la procureure. «Nous allons saisir des experts incontestables pour des analyses poussées, notamment sur les métaux, pour savoir s'il y a eu des ruptures (avant le choc), ou si l'état de la voiture fait suite au choc», a-t-elle dit. La voiture sera examinée lundi.
La ministre des Sports, Valérie Fourneyron, a promis dimanche un «travail de fond» sur la sécurité des épreuves automobiles, tout en assurant qu'il n'était pas question de prendre des «mesures intempestives». Elle rencontrera la semaine prochaine le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, et le président de la Fédération française du sport automobile, Nicolas Deschaux, pour «regarder ensemble la réglementation et la sécurisation du public», s'interrogeant sur la pérennité et la suffisance des dernières mesures adoptées en 2007.