dimanche 26 février 2012

Afghanistan: Paris a retiré ses agents des institutions à Kaboul

La France a retiré tous ses agents publics présents dans les institutions afghanes, après l'assassinat samedi de deux conseillers militaires américains dans les locaux du ministère afghan de l'Intérieur, a annoncé dimanche le ministère des Affaires étrangères.

Berlin a également annoncé dimanche avoir retiré provisoirement ses agents allemands et internationaux des ministères afghans, dans un communiqué du ministère de la Coopération économique.

"L'ambassadeur de France en Afghanistan a fait procéder sans délai au retrait provisoire de tous les agents publics français dans les institutions afghanes, afin de garantir leur sécurité", a indiqué Bernard Valero, porte-parole du Quai d'Orsay.

Il n'a pas précisé le nombre de personnes concernées.

"Cette mesure sera rapportée dès que les conditions le permettront", a ajouté M. Valero dans sa déclaration.

La France compte actuellement 3.600 soldats déployés en Afghanistan.

Paris "condamne" l'assassinat des deux officiers américains de la Force internationale d'assistance et de sécurité (Isaf) dans les locaux du ministère de l'intérieur afghan, a-t-il ajouté.


Selon une source gouvernementale afghane, les deux officiers américains tués samedi l'ont été à cause d'une dispute avec un de leurs collègues afghans au sujet des Corans brûlés mardi dans une base américaine.

L'Isaf, la force armée de l'Otan en Afghanistan, à laquelle appartenaient les deux victimes, a indiqué que son "enquête était en cours".

Après ce double assassinat, le ministère britannique des Affaires étrangères a annoncé samedi le retrait temporaire de ses conseillers rattachés aux organisations gouvernementales à Kaboul.

Le déficit de confiance entre les troupes étrangères et les forces de sécurité afghanes est devenu criant ces derniers mois, les attaques entre soldats "amis" se multipliant. Ce problème pourrait remettre en question la formation des troupes afghanes, un enjeu pourtant crucial pour la sécurité intérieure du pays après 2014, quand la coalition de l'Otan aura quitté l'Afghanistan.

Les tensions secouant l'Afghanistan restent vives cinq jours après l'incinération de Corans dans une base militaire américaine.

Dans la nuit de lundi à mardi, des exemplaires du Coran, confisqués à des détenus de la prison de la base américaine de Bagram (Afghanistan), ont été incinérés, provoquant cinq jours d'émeutes anti-américaines dans le pays, qui ont fait une trentaine de morts et plus d'une centaine de blessés.

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a déclaré dimanche à Rabat que ces violences "doivent cesser".

"Nous regrettons profondément cet incident (des corans brûlés) qui a conduit à ces protestations mais nous pensons également que la violence doit cesser et qu'il faut continuer le dur travail pour construire un Afghanistan plus en paix et en sécurité", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à Rabat.

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En France Bernard Valero le porte parole du ministère des armées a fait le communiqué

jeudi 23 février 2012

Dieu reconnaîtra-t-il les siens ?

Comme je le laissais entendre sur le précédent article, Dieu a bien du mal à reconnaître les siens, mais il parviendra cela ne peut être autrement !

http://www.linfo.re/-People,13-/Pierre-Sarkozy-rapatrie-en-France-aux-frais-de-l-Etat
Pierre Sarkozy rapatrié en France aux frais de l’Etat ?

D’après l’Elysée, le rapatriement de Pierre Sarkozy, victime d’une intoxication alimentaire la semaine dernière en Ukraine, avait été pris en charge par le chef de l’Etat. Pourtant, comme l’indique ‘Le Canard enchaîné’, le contribuable a également payé pour ce retour. Une somme s’élevant à 31.568 €.

Le Disc Jockey, a été ramené au pays à bord d’un Falcon 50, un Escadron de transport, d’entraînement et de calibration qui, comme l’explique ‘Le Parisien’, est chargé« du transport des ministres et du président de la République, mais aussi de certaines évacuations sanitaires ». Parti de Villacoublay à 10h04, le Falcon se serait posé trois heures trente plus tard à Odessa, avant de revenir avec le fils de Nicolas Sarkozy en Métropole.

Interrogée par ‘Le Canard enchainé’, L’Elysée a assuré que le Président Français avait « payé par chèque sur ses deniers personnels la somme de 7 632 euros ».

L’hebdomadaire indique ensuite que ses calculs basés sur « les chiffres officiels du ministère de la Défense », montre que l’heure de vol en Falcon est de 5.600 euros. Comme le vol aller-retour a duré sept heures, le coût total de ce rapatriement revient à 39 200 euros. Avec une rapide soustraction, il reste ainsi 31.568 € à la charge de l’Etat.
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15h36 ça reste à vérifier
Rapatriement fils Sarkozy aux frais de l'Etat ? (Canard)
Par la rédaction le 01/02/2012 Connaissez-vous Elysée Assistance ? Selon Le Canard enchaîné de ce mercredi 1er février, l'Elysée a dépêché un Falcon 50 de l'Etec-RAFJ, flotte de la République, pour rapatrier le fils aîné de Nicolas Sarkozy, victime d'un malaise en Ukraine. Un rapatriement que Sarkozy père n'aurait pas remboursé en intégralité.
D'après Le Canard enchaîné, le 25 janvier 2011, un Falcon de la République a décollé de Villacoublay pour Odessa, en Ukraine. Objectif de la mission : récupérer Pierre Sarkozy.
Plus connu dans le milieu de la musique sous le nom de DJ Mosey, le fils de Sarkozy a fait un malaise probablement lié à une intoxication alimentaire. Après 3h30 de vol, et deux heures d'attente sur le tarmac d'Odessa, le Falcon est reparti sur Paris. Qui a payé la facture ? Contacté par Le Canard enchaîné, l'Elysée a fait savoir que Sarkozy "a payé par chèque, sur ses deniers personnels, la somme de 7 632 euros". Sauf que selon l'hebdomadaire, le rapatriement a coûté beaucoup plus cher : "L'heure de vol en Falcon 50 de l'Etec est estimée, selon les chiffres officiels du ministère de la Défense, à 5 600 euros. L'indisposition de Monsieur Fils aura donc coûté 40 000 euros".



En outre, l'utilisation des moyens de la République à des fins personnelles est-il légal ? Pas sûr. Etant un organisme d'Etat, l'Etec n'est pas censé faire de concurrence au privé. Un contrôleur général, interrogé par Le Canard, explique si "une compagnie aérienne mal lunée prend en mauvaise part cette concurrence déloyale et fait un procès, elle gagnerait à tous les coups". Seule exception qui pourrait justifier l'utilisation des avions de la République à cet effet : invoquer "l'intérêt général". Difficile d'appliquer cette notion au malaise du fils de Sarkozy même si l'Elysée a tenu à préciser à l'hebdomadaire que la décision de le rapatrier avait été prise "par le médecin en chef de la Présidence". Ça change tout, effectivement.
http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=13030
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Sarkozy a remboursé 7 632 euros sur 39 200
Finalement, c'est à 10h04 que le Falcon 50 (pas un coucou donc) de l'Etec (l'escadron chargé de transporter les ministres et le Président) décolle de Villacoublay.

Après trois heures trente de vol, le Falcon se pose à Odessa. D'où il repart, deux heures plus tard, chargé du rejeton présidentiel.

Interrogée par Le Canard, la présidence de la République a répondu que Nicolas Sarkozy avait « payé par chèque sur ses deniers personnels la somme de 7 632 euros ».

Mais, relève malicieusement l'hebdomadaire, l'heure de vol en Falcon coûte 5 600 euros « selon les chiffres officiels du ministère de la Défense ». Pour un vol de sept heures aller-retour, il manque donc près de 32 000 euros !

Nos confrères ajoutent que l'Etec étant un organisme d'Etat, il lui est en principe interdit de faire concurrence au privé. Seule exception : « l'intérêt général ».

http://www.rue89.com/2012/01/31/un-peu-malade-odessa-pierre-sarkozy-rapatrie-aux-frais-de-letat-228946?page=4

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Selon certaines sources l'intoxication daterait de son déplacement en Pologne... comme quoi tout n'est pas si clair, et ce qui me fait penser à un plan-plan c'est qu'à la même période le Pape préparait sa succession et des rumeurs circulaient selon lesquelles ses services de sécurité aurait reçu des menaces de mort pour l'année 2012 ! De plus le plan media de l'UMP du candidat à la présidence Sarkozy avait lancé la rumeur que l'Inde avait conclu le contrat d'achat de falcons avec la France (ce qui est loin d'être le cas, la réponse n'est pas attendue avant plusieurs mois). Le président Sarkozy avait fait la fierté de son quinquennat en se promettant la vente de ces avions très chers à l'exportation. Quelques jours plus tard la même rumeur courrait avec la vente de ses avions au Brésil (ce qui n'est toujours pas une réalité). Ces plans media ont pour but de crédibiliser la candidature du président sortant... mais est-ce une réalité ou un plan media ? Comme tout ceci n'est pas clair cela me fait douter de la situation afghane et de la sincérité des propos du président.
J'avais avancé l'idée que puisqu'il était si fort, pourquoi Sarkozy ne s'en prenait-il pas aux américains qui ont commis les faits à l'origine de la rebellion. La petite phrase lassant entendre que le président était courageux m'a fait comprendre comment le message est passé, surtout quand le président s'en est pris à ceux qui critiquaient le gouvernement pour l'affaiblir (nous ne sommes pas en Syrie tout de même ! l'opposition peut s'exprimer tout de même, n'est-ce pas ?). En faisant venir le président Karzay jusqu'à Paris, le candidat prend le dessus sur son concurrent socialiste... mais à quel prix ? Cela reste à vérifier, pour ma part je reste excessivement circonspecte. D'autant plus que me plaignant des menaces de mort qui pesaient sur ma personne et de la tentative d'empoisonnement à la dioxine que j'avais subie, j'ai vu dans les nouveaux déplacements des pions de la droite et son alibi religieux le Vatican d'importants éléments suspicieux pour saper la réalité de ma situation et inverser la vapeur à leur avantage.

Je ne peux être l'objet de menaces de leur part mais eux seuls peuvent être exposés ! Comme si tous leurs petits numéros de cabaret ne commençaient pas à lasser !

Arrêez, messieurs, vous êtes découverts ! A trop en faire vous y perdez en crédibilité !

La guerre de religion vous avez engagée et les USA votre suzerain ne vous vcouvriront pas éternellement !

Dieu reconnaîtra les siens !

S'il faut aider l'Afghanistan, si les enjeux stratégiques de la zone sont si forts, il suffit de le reconnaître et de conclure des accords économiques et sociaux plutôt que d'utiliser le fallacieux prétexte des talibans ! Le but est la guerre de religion et l'extermination du Coran pour mettre l'évangile dans tous les domaines. Cela ne fait plus l'ombre d'un doute, mais avant d'y arriver combien de morts les protagonistes auront-ils provoqués ? Combien d'années avant de prendre conscience du mépris ?

Pourquoi provoquer la mort au lieu de prendre des mesures favorables au maintient de la vie ?

Afghanistan : quand t'en sortiras-tu ?

Les taliban appellent les soldats afghans à cibler l’Otan
Terrorisme jeudi 23 février 2012

Les taliban ont appelé jeudi les membres des forces de sécurité afghanes à retourner leurs armes contre les soldats étrangers sous commandement de l’Otan.

« L’Emirat islamique d’Afghanistan appelle tous les jeunes présents dans l’appareil de sécurité du régime de Kaboul à accomplir leur devoir religieux et national en retournant leurs armes contre les envahisseurs infidèles étrangers », peut-on lire dans un communiqué publié.

Cet appel survient alors que les violences liées à la profanation d’exemplaires du Coran sur la base américaine de Bagram ont pris un tour nouveau jeudi, un soldat afghan ouvrant le feu sur des militaires occidentaux et faisant deux morts.

Le gouvernement américain et le commandement des forces de l’Otan en Afghanistan ont présenté des excuses après que des ouvriers agricoles ont retrouvé les restes calcinés d’exemplaires du Coran en ramassant les poubelles de la base aérienne de Bagram, située à environ une heure de voiture au nord de Kaboul.
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Les-taliban-appellent-les-soldats-afghans-a-cibler-l-Otan_6346-2047698-fils-tous_filDMA.Htm

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http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/02/23/corans-buules-du-rififi-en-kapisa-aussi.html

23.02.2012Corans brûlés: du rififi en Kapisa aussi. La FOB de Nijrab sous pression... (actualisé)



De nouvelles émeutes antiaméricaines ont éclaté ce jeudi en Afghanistan, pour la troisième journée consécutive (cliquer ici pour voir une vidéo prise à Jalalabad). Dans la nuit de lundi à mardi, des exemplaires du Coran, confisqués à des détenus de la prison de la base américaine de Bagram, à 60 km au nord-est de Kaboul, avaient été incinérés parce que, selon des responsables à Washington, ils servaient à faire passer des messages entre prisonniers. Les heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont déjà fait une douzaine de morts afghans et deux soldats US tués par un soldat afghan.

La Kapisa, zone de déploiement française, n’est pas épargnée par ces manifestations. Mercredi, plusieurs centaines de manifestants (des milliers selon les talibans) ont défilé dans le district d’Alasay, en exigeant le départ des troupes étrangères. Ce jeudi, comme la veille, des manifestants ont tenté de prendre à partie les Français de la base de Nijrab mais les forces de l'ordre afghanes les auraient refoulés (info confirmée par des sources afghanes qui parlent d'une vingtaine de blessés afghans). Selon le porte-parole du gouverneur de la province, pour tenter de ramener le calme, le général Palasset, qui commande la TF La Fayette, avait rencontré, un peu plus tôt, des dirigeants locaux et leur avait présenté les excuses de l'Isaf. Pas suffisant visiblement...

Et les talibans viennent d'entrer dans la danse: "Notre peuple courageux doit cibler les bases militaires des forces occupantes, leurs convois militaires", a déclaré un porte-parole des talibans, Zabihullah Muhajid, dans un communiqué. Les Afghans "doivent tuer (les Occidentaux), les frapper, les capturer pour leur passer l'envie d'oser à nouveau profaner le livre sacré", a-t-il ajouté.

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Comme je l'écrivais sur la page du groupe facebook "anti-chétiens ou non", https://www.facebook.com/#!/groups/185372694868072/274839375921403/ le 18 février suite à l'arrestation d'un marocain :

l'article sur orange actu :
Etats-Unis: un Marocain arrêté près du Congrès où il voulait perpétrer un attentat
Un Marocain de 29 ans soupçonné de vouloir perpétrer un attentat-suicide contre le Congrès à Washington a été arrêté vendredi dans un parking proche, porteur d'une bombe qu'il croyait prête à exploser mais qui avait été rendue inutilisable par le FBI qui le surveillait depuis des mois.
Amine El Khalifi, un immigré marocain vivant illégalement aux Etats-Unis, était muni d'une arme automatique et portait une veste contenant des explosifs que lui avaient fourni des agents fédéraux qui s'étaient fait passer pour des membres d'Al-Qaïda.

"L'arme et la bombe avaient été rendues inoffensives par les forces de l'ordre et ne constituaient pas une menace pour la population", a indiqué le ministère américain de la Justice.

L'homme, habitant Alexandria (Virginie, est), dans la banlieue de Washington, a été interpellé dans un parking près du Capitole, siège du Congrès, où "il avait l'intention d'abattre des gens et de faire exploser la bombe", a ajouté le ministère dans un communiqué.

Le président Barack Obama avait été informé jeudi du projet d'arrestation, selon la Maison blanche.

Quelques heures après son interpellation, M. El Khalifi a été inculpé de "tentative d'utilisation d'arme de destruction massive contre la propriété des Etats-Unis". Il encourt la prison à perpétuité.

"Amine El Khalifi cherchait à se faire exploser dans le bâtiment du Capitole", a affirmé le procureur fédéral Neil MacBride qui l'a inculpé. Il "croyait qu'il travaillait avec Al-Qaïda et avait conçu lui-même le projet, les cibles et les méthodes".

Le FBI, la police fédérale américaine, a indiqué que le suspect était sous sa filature depuis des mois. "Cette arrestation est le résultat d'une opération secrète pendant laquelle le suspect a été surveillé de près", a déclaré une porte-parole du FBI.

Selon l'acte d'accusation, le suspect avait été signalé aux autorités en janvier 2011 et, alors qu'il cherchait à "être associé à un groupe extrémiste armé", il avait été présenté en décembre 2011 à un agent du FBI, travaillant sous le nom de "Youssouf", qu'il croyait être membre d'Al-Qaïda.

A plusieurs reprises, il lui avait confié son "désir de mener une opération dans laquelle il utiliserait une arme et tuerait des gens face à face", ajoute le communiqué du ministère.

Parmi les cibles possibles, le suspect aurait cité des installations militaires, une synagogue ou encore un restaurant fréquenté par des responsables militaires.

Le 15 janvier 2012, il aurait indiqué qu'il voulait finalement s'en prendre au Capitole à la date du 17 février, selon l'acte d'accusation.

Il se serait ensuite rendu plusieurs fois en repérage au Capitole et aurait demandé à l'agent du FBI ayant déguisé son identité de faire exploser à distance la bombe qu'il portait "en cas de problème avec les agents de sécurité".

Vendredi des agents du FBI "camouflés" se trouvaient avec Khalifi dans le parking où le suspect a pris possession de l'arme automatique MAC-10 et "revêtu une veste contenant ce qu'il pensait être une bombe en état de fonctionnement".

Il s'est alors dirigé vers le Capitole "où il avait l'intention de tirer sur les gens et de faire exploser la bombe" mais il a été arrêté avant de quitter le parking.

"Cette affaire souligne la menace persistante que représentent pour nous les extrémistes violents venus de l'intérieur", a déclaré la ministre adjointe de la Justice chargée de la Sécurité nationale, Lisa Monaco, qui s'est félicitée que cette tentative ait été "contrecarrée avant de faire du mal à quelqu'un".

"A aucun moment le public ou le personnel du Congrès n'ont été en danger", a ajouté la police chargée de la sécurité au Congrès.

La sénatrice Susan Collins, membre de la commission sur la Sécurité nationale du Sénat, a jugé "alarmante" la "nature effrontée de cette tentative d'attentat prenant pour cible le bâtiment du Capitole avec l'objectif de tuer des innocents et de profaner un symbole de notre démocratie".

"Cette tentative d'attentat semble être un nouvel exemple de la radicalisation d'extrémistes tentant d'attaquer les Américains à l'intérieur de nos frontières", a-t-elle ajouté.

L'élue a parlé "d'une recrudescence importante" de ce type d'attaques. 36 projets d'attentats menés par des Américains ou des résidents permanents aux Etats-Unis ont été déjoués de mai 2009 à février 2012, contre 21 entre 2001 et 2009, a-t-elle précisé en citant un rapport du Congrès.

http://actu.orange.fr/une/etats-unis-un-marocain-arrete-pres-du-congres-ou-il-voulait-perpetrer-un-attentat-afp_487682.html

Mes commentaires :
Alors qu'il a été démontré que le FBI lui-même a armé al-qaeda et Ben Laden, que les attentats du 11 septembre étaient prévus mais que la sécurité a rien fait pour les arrêter voilà que le FBI nous montre une nouvelle fois ses méthodes de travail identiques dans le monde entier voilà ce que que m'inspirent ces événements le jour où tous les américains implorent dieu sur toutes leurs pages FB :

« Tous les chrétiens du monde entier, plus particulièrement ceux des USA qui jurent pour tous leurs acte de la vie sur la Bible, s'exposent à la sévére justice de Dieu qui reconnaîtra les siens :
Je leur demande détudier la Bible au lieu de la survoler. Notamment le passage 1 Rois 21 : Dieu condamne celui qui fait condamner autrui sur un témoignage fictif.

Quelles sont donc ces manières d'abuser le...s plus faibles pour les faire condamner ? Tout l'inverse de ce qui est écrit dans la Bible.
Si les musulmans s'amusaient à monter des plans pour montrer que les chrétiens veulent les faire condamner comment ces chrétiens réagiraient-ils ?

Ce n'est pas parce que les chrétiens s'estiment plus intelligents qu'ils doivent jouer avec les pauvres d'esprit et surtout quand ils sont d'une religion différente de la leur ! Mat 5.3 "Heureux les pauvres d'esprit"
Si l'Eglise s'occupati des pauvres il n'y en aurait plus (Act 4.34) Tout l'inverse de ce que font les Chrétiens et le FBI.»

il a été démontré que les Talibans savent coopérer quand on les prend au sérieux en leur faisant confiance comme cela se faisait avant les attentats du 11 septembre 2001 et l'assassinat de Massoud. Tandis que si on les prend à rebrousse poi...ls ils deviennent rebelles et partent dans des plans stratégiques d'attentat. Exactement ce que viennent de démontrer à nouveau le FBI. S'ils avaient cherché à appliquer la loi en renvoyant le clandestin par exemple, en ne cherchant pas à le faire accomplir un attentat, il serait reparti d'où il vient, il aurait repris une vie normale. Il aurait travaillé, et comme le dit la Bible ACT 4.34 : il n'y aurait plus de pauvres avec l'Eglise qui s'occupe des pauvres (qu'il soient pauvres d'esprit ou d'économies) . Si les plus riches donnent les moyens aux plus pauvres de devenir riches (d'esprit et de finances) il n'y aura plus de pauvres. Mais les chrétiens n'appliquent pas les textes de la Bible. On se demande pourquoi ils jurent sur elle si c'est pour ne pas la respecter.
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Quelques jours plus tôt c'était notre cher président Sarkozy qui convoquait le président afghan pour demander des garanties sur la sécurité de nos soldats après la mort de quatre d'entre eux. L'excuse était la video montrant des américains urinant sur des cadavres de talibans

http://www.france24.com/fr/20120127-afghanistan-france-rencontre-karzai-sarkozy-retrait-soldats-francais-armee-militaire-otan-mission-diplomatie
(voir les 2 videos dans le corps de l'article)

Hamid Karzaï a rencontré ce vendredi Nicolas Sarkozy, une semaine après le meurtre en Kapisa de quatre militaires français par un soldat afghan. À cette occasion, le président français a annoncé le retrait anticipé des troupes en Afghanistan

Alors que la mort de quatre soldats français le 20 janvier a jeté un froid sur les relations entre Paris et Kaboul, le président afghan Hamid Karzaï a effectué vendredi 27 janvier une visite officielle dans la capitale française. Nicolas Sarkozy, réagissant au drame, avait brandi la menace d’un retrait anticipé des troupes françaises, initialement prévu d’ici 2014, "si les conditions de sécurité [n’étaient] pas clairement établies." Depuis 2004, 82 soldats français sont morts en Afghanistan. Le chef de l'État a finalement annoncé, à l'issue d'un entretien avec son homologue afghan sur la signature d’un traité d’amitié et de coopération, d'avancer le retrait total des troupes à fin 2013.

Une manœuvre électorale ?

En pleine campagne électorale, la question du retrait des soldats a été reprise par le candidat socialiste à l’élection présidentielle, François Hollande, qui promet pour sa part un départ d’ici la fin 2012.

"La décision est purement liée à l’environnement de campagne électorale actuelle, ce ne sont pas pour des raisons stratégiques," regrette Olivier Guillard, directeur de recherche à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques) et directeur de l’information chez Crisis Consulting. Ce dernier illustre son propos en s'appuyant sur un récent sondage, selon lequel plus de 8 Français sur 10 seraient défavorables au maintien d’un dispositif français aussi important en Afghanistan.

Un point de vue contrebalancé par Pierre Conesa, auteur de "La fabrication de l’ennemi, ou Comment tuer avec sa conscience pour soi", qui se dit favorable à un départ "quasi-immédiat" d’Afghanistan. "Que cela soit dans une perspective électorale ou non, il faut absolument prendre des mesures de sécurité pour les soldats," commente-il.

"Il n’y a aucune maîtrise sur la stratégie d’ensemble. De plus, notre présence a suscité au sein de la population afghane des réactions très négatives." (L’auteur du meurtre des quatre militaires français a dit avoir réagi à la diffusion d’images montrant des soldats américains urinant sur des cadavres d’Afghans, NDLR.)

Sur quelque 3 600 soldats présents en Afghanistan, un millier devrait rentrer au pays d’ici la fin de l’année de 2012. Un départ qui pourrait être accéléré, avec le rapatriement de contingents tout au long de l’année, selon Mathieu Mabin, spécialiste de politique internationale, notamment celle de l’Afghanistan, à FRANCE 24.

Par Matthieu MABIN

Un retrait complexe

Toutefois, le départ des soldats n’est pas la partie la plus corsée de l’affaire. Le matériel militaire (environ 2 000 véhicules divers et de très nombreux containers) qui devra regagner les hangars français nécessite des méthodes de transport contraignantes. D’autant que la route terrestre passant par le Pakistan, la moins coûteuse, est fermée suite à une bavure militaire des États-Unis ayant causé la mort de 24 soldats pakistanais.

Patrick de Gmeline, historien militaire, auteur de "Se battre pour l'Afghanistan - Soldats de montagne contre les talibans", confirme la difficulté matérielle d’un départ précipité et ajoute que le coût d’un tel rapatriement est estimé à environ 200 millions d’euros.

AFGHANISTAN
La coopération de la France avec l'armée afghane remise en question

"Il ne faut pas non plus oublier que la France a des obligations vis-à-vis de ses alliés. Si la France décidait d’accélérer le retour de ses troupes et de se séparer des décisions prises avec les États-Unis, cela l’obligerait à sortir de l’Otan avec toutes les difficultés que cela entrainerait."

Le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, n’a d’ailleurs pas tardé à réagir en appelant, jeudi 26 janvier, la France à maintenir ses opérations de formation et d'aide au combat en Afghanistan jusqu’à la date prévue.

Pour ce qui est de la capacité de l’Afghanistan à assurer sa propre sécurité, Olivier Guillard va même jusqu’à juger qu’un départ en 2014 serait encore trop tôt. "Sans faire basculer le bourbier afghan d’un côté ou de l’autre, le départ précipité des soldats français de la zone de la Kapisa, critique pour la sécurité de Kaboul, aurait un impact local non négligeable," explique-t-il, "sans parler de l’image de la France auprès des alliés qui en sortirait ternie. "



"La fabrication de l'ennemi : ou comment tuer avec sa conscience pour soi", de Pierre Conesa, éd. Robert Laffont (2011)
"Se battre pour l'Afghanistan, soldats de montagne contre les talibans", de Patrick de Gmeline, éd. Presses de la Cité (2010)
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video des soldats américains urinant sur les combattants talibans
http://www.seneweb.com/news/commentaire/des-marines-pissent-sur-des-cadavres-afghans_n_57420_c_1371742.html
http://www.youtube.com/watch?v=WGXdTZQWtgA

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Il est vrai que les élections sont l'occasion de passe d'armes. Le présidentiable socialiste ayant évoqué le retrait des troupes, il se pourrait bien que... le candidat Sarkozy a déjà démontré sa propension à utiliser les évènemts à son avantage arguat du fat qu'il est prompt à réagir... s'il s'avèrait que les causes et les remèdes ne sont que des scenarii préparés à la façon stratégie militaire (n'oublions pas l'implication des soldats religieux dans les conflits armés) nous aurions une autre lecture de tout ce qui se passe. Le nom de Sarkozy est cité dans les ventes d'armes au Pakistan... et surtout le dernier épisode en date quand le président faisait rapatier de toute urgence son fils en falcon ne peut qu'interpeller :
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version des faits selon le figaro.fr (l'homme a travaillé au Pakistan ce qui est déjà un élément suspect)

http://www.lefigaro.fr/international/2012/01/22/01003-20120122ARTFIG00063-afghanistan-paris-rassure-washington-sur-ses-intentions.php
Afghanistan : Sarkozy décidera ou non d'un retrait anticipé

Mis à jour le 22/01/2012 à 16:35 | publié le 22/01/2012 à 11:07 Réactions (165)
Gérard Longuet s'est entretenu, samedi, avec le commandant de la 3e brigade de l'Armée nationale afghane (ANA), dont dépend l'unité basée à Gwan où s'est déroulée la fusillade. Crédits photo : JOEL SAGET/AFP

RecommanderIl reviendra au chef de l'Etat de «tirer les conséquences» de l'attaque de vendredi et de décider ou non d'un retrait , a rappelé le Quai d'Orsay, alors que les Etats-Unis se montrent circonspects. L'auteur de l'attentat dit avoir été motivé par la vidéo montrant des abus commis par des G.I.

• Paris se démarque de Washington et rappelle que la décision d'un éventuel retrait appartient à Nicolas Sarkozy. Cette mise au point survient quelques heures après la publication d'un communiqué du département d'Etat américain, qui suggérait que Paris ne procéderait pas à un retrait anticipé de ses 3600 militaires

«M. Juppé a informé Mme Clinton des décisions prises par le président de la République le 20 janvier: suspension des opérations de formation et d'appui à l'armée nationale afghane, envoi du ministre de la Défense et du chef d'état-major des Armées en Afghanistan», écrit le Quai d'Orsay dans un communiqué. «Au vu de leur rapport, le président de la République tirera toutes les conséquences de l'attentat perpétré contre nos forces par un membre de l'armée nationale afghane».

Un communiqué, diffusé cette nuit par les États-Unis, semblait suggérer que la perspective d'un retrait s'éloignait. Hillary Clinton et Alain Juppé «sont tombés d'accord samedi soir pour que les États-Unis et la France travaillent avec les partenaires de l'Isaf (la mission de l'Otan) et le gouvernement afghan afin d'assurer la solidité et l'efficacité continues de la mission», écrivait le département d'Etat américain. Déjà vendredi, Hillary Clinton avait exprimé son scepticisme sur la probabilité d'un retrait avancé des Français avant la date butoir 2014. «Je n'ai aucune raison de penser que la France ne va pas continuer à prendre part au processus délicat de transition en cours», avait déclaré la chef de la diplomatie américaine. La France représente le troisième plus important contingent étranger derrière ceux des États-Unis et des Britanniques.

Sur le terrain, c'est Gérard Longuet, qui est chargé d'évaluer la dangerosité de la mission de formation des soldats afghans par les militaires français. Arrivé samedi en Afghanistan, le ministre de la Défense s'entretient ce dimanche avec le président afghan Hamid Karzaï et les ministres afghans de la Défense et de l'Intérieur. Il doit également discuter avec le général John Allen, commandant de l'Isaf, le bras armé de l'Otan en Afghanistan, et le général Olivier de Bavinchove, chef d'état-major de l'Isaf. A son retour, Gérard Longuet devra rendre compte au président Sarkozy des mesures que les autorités afghanes s'engagent à prendre pour assurer la sécurité du contingent français.

• Le tireur motivé par une vidéo montrant des abus de soldats américains. Le soldat qui a abattu alors qu'ils étaient désarmés et en train de courir les quatre militaires français, a agi après avoir visionné la vidéo montrant des soldats américains uriner sur des cadavres d'Afghans, ont révélé des sources sécuritaires.

Agé de 21 ans, l'homme, identifié comme Abdul Mansour, a été arrêté après le drame. Selon une source sécuritaire, le tueur «n'avait aucun contact direct avec les talibans mais qu'il ne les haïssait pas non plus». Mais le ministre de la Défense Gérard Longuet affirmait, dimanche matin, à l'issue d'une discussion avec un gradé afghan qu'il s'agissait d'un «taliban infiltré de longue date». Déserteur de l'armée afghane (ANA), il se serait après un passage au Pakistan, réengagé dans les rangs de l'ANA. Il était depuis environ deux mois dans l'unité de Gwan où les Français officiaient en tant qu'instructeurs.

Même confusion du côté des insurgés quant à leurs liens avec Abdul Mansour. Samedi, un porte-parole des talibans avait revendiqué à Reuters l'attaque de vendredi. Outre l'auteur de la fusillade, les talibans assuraient avoir gagné à leur cause plusieurs personnes «occupant des postes importants» et promettaient d'autres attaques. Depuis la diffusion de cette vidéo montrant des GI américains se soulageant sur des cadavres, le recrutement de volontaires est devenu très aisé, mettait-il en garde. Toutefois, les rebelles interrogés par l'AFP soutiennent eux ne pas être à l'origine de l'attaque.

• Honneurs militaires sous la neige. Les honneurs militaires aux quatre soldats français tombés ont été rendus sous la neige dimanche en fin de matinée, avant que les cercueils des défunts ne soient embarqués dans l'avion du ministre de la Défense Gérard Longuet pour arriver en soirée à Paris.

La cérémonie s'est déroulée sous très haute sécurité à l'aéroport militaire de Kaboul (Kaia). Gérard Longuet, le général Allen, commandant de l'Isaf, et le général Olivier de Bavinchove, chef d'état-major de l'Isaf y assistaient en compagnie d'environ 700 militaires. «Vous êtes morts sous la perfidie d'un lâche. L'ennemi n'hésite pas à recourir aux pires traîtrises. Votre mission était symbolique: vivre avec les soldats afghans, les instruire et non vous en protéger», a regretté le général de Bavinchove, seule personnalité à prendre la parole.

Après que la Marseillaise eut été chantée, les cercueils ont été transportés jusqu'à l'avion blanc de la République française. Gérard Longuet, après avoir serré les mains des aumôniers catholique et protestant présents, est ensuite monté dans l'aéronef, suivi par le reste de la délégation.

• Les proches des victimes appellent à un retrait anticipé. «[Nos soldats] n'ont rien à faire là-bas. Ils n'ont qu'à laisser [les Afghans] s'entre-tuer», a confié à Europe 1 la veuve d'un des hommes tués vendredi. «Qu'ils rendent les pères à leurs enfants, à ceux qui ont encore la chance d'avoir un père. Ma fille de 14 mois ne verra plus jamais le sien», a-t-elle plaidé. «Il n'est pas mort au combat, il a simplement été mis à mort par un seul homme qu'ils étaient en train de former pour qu'il se défende», a-t-elle insisté.

La soeur de ce même soldat a elle expliqué à RTL «ne pas comprendre pourquoi la France laisse ses hommes» en Afghanistan. «Mon frère aurait dû rentrer dans trois semaines. J'ai la haine, contre le gouvernement, contre les gens qui prennent des décisions. Cela fait des années qu'on est là-bas et ils ne veulent rien savoir.» «C'est de la faute de Nicolas Sarkozy si mon frère est décédé. Il doit enlever tout le monde d'Afghanistan dès que possible: tous ces jeunes, ces maris, ces frères. Il n'y a pas d'amélioration, c'est de pire en pire».

• Quel calendrier pour un retrait? Si jamais les autorités françaises décidaient effectivement d'un retrait anticipé, celui-ci risquerait de prendre du temps, jugent plusieurs journalistes spécialisés dans les questions de défense. Les talibans s'étant rapprochés des bases françaises, il faudra dégager puis surveiller l'accès aux routes que les convois emprunteront. Le rapatriement des troupes pourrait prendre plusieurs mois, si ce n'est un an

lundi 20 février 2012

Affaire de ventes d'armes au Pakistan et retrocession

Enquête préliminaire sur des mouvements de fonds suspects de Thierry Gaubert

Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Nanterre sur des mouvements de fonds suspects de Thierry Gaubert, un proche de Nicolas Sarkozy, mis en examen dans le volet financier de l'affaire Karachi, a-t-on appris lundi de source proche du dossier.

"Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête préliminaire suite à deux signalements de Tracfin (la cellule gouvernementale de lutte anti-blanchiment, ndlr), l'un en août 2011 et le second en octobre 2011", a-t-on indiqué de même source.

Le site Mediapart a affirmé lundi que Tracfin "a saisi, le 27 juillet 2011, le parquet de Nanterre de soupçons de +blanchiment de fonds issus d'une activité délictueuse+ après avoir constaté plusieurs flux financiers suspects entre M. Gaubert et le marchand d'armes Ziad Takieddine", également mis en examen dans le dossier Karachi.

Ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly en 1983 puis au ministère du Budget (1993-1995), Thierry Gaubert a été mis en examen à l'automne 2011 pour "recel d'abus de biens sociaux" et "subornation de témoins" par les juges parisiens enquêtant sur le volet financier de l'affaire Karachi et un éventuel financement occulte de la campagne d'Edouard Balladur en 1995.

Par ailleurs, il attend son jugement le 3 mai par le tribunal correctionnel de Nanterre devant lequel il vient de comparaître dans une affaire de détournement de fonds issus du 1% logement. Le ministère public avait requis jeudi à son encontre un an de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende pour "abus de biens sociaux".

dimanche 19 février 2012

20 000 armes auraient disparu de Lybie

Elles ont été introduites de Libye,Des armes lourdes découvertes près de In Amenas

Dimanche 19 février à 20:11

Des armes lourdes ont été découvertes dans une cache, à 60 Km au sud de In Amenas, près des frontières algéro-libyennes, a affirmé une source proche des services de sécurité.

C’est suite à l’arrestation et l’interrogatoire d’un contrebandier que les éléments des services de sécurité ont découvert cet arsenal composé, notamment d’armes de type RPG 7.

Ces armes provenant de Libye prouvent que la situation est dangereuse pour toute la région. Il est à rappeler que l’Algérie avait tiré la sonnette d’alarme sur la circulation des armes dans les pays du Sahel qui risqueraient de tomber entre les mains de terroristes d’Al Qaïda. Des experts occidentaux ont affirmé à l’agence Reuters, qui a rapporté cette information, que les terroristes ont une préférence pour le RPG 7 pour sa facilité d’utilisation. Une autre source souligne que 20 000 armes notamment des RPG 7 ont disparu des casernes de Kadhafi dont la grande partie se trouve toujours en Libye.

Une commission composée d’experts de l’ONU, réunie il y a une semaine à Genève, a indiqué que l’absence de contrôle de la part d’un gouvernement stable faciliterait le déplacement des armes se trouvant toujours sur le territoire libyen. Un des membres de cette commission ayant requis l’anonymat a soutenu qu’il y a effectivement des fuites d’armes vers les pays du Sahel et que la crainte des gens n’est pas fortuite. Il faut noter que les services de sécurité ont arrêté, depuis le début 2011, 87 Libyens en flagrant délit de possession d’armes introduites illégalement de Libye et destinées aux terroristes.

http://www.algerie360.com/algerie/elles-ont-ete-introduites-de-libyedes-armes-lourdes-decouvertes-pres-de-in-amenas/

vendredi 17 février 2012

Saisie de faux bons du Trésor américain en Suisse

La justice italienne a fait saisir environ 6000 milliards de dollars de faux bons du Trésor américain dans le canton de Zurich. Une décision prise dans le cadre d'une enquête contre un réseau criminel de haut vol.

L'argent a été saisi dans le cadre d'une enquête contre un réseau criminel.
Image: Keystone

La justice italienne a annoncé vendredi avoir fait saisir 6’000 milliards de dollars de faux bons du Trésor américain dans le cadre d’une enquête contre un réseau criminel. Huit personnes ont été arrêtées en Italie. L’affaire touche le canton de Zurich.

La somme astronomique de ces contrefaçons peut surprendre. Il s'agit pourtant d'après plusieurs agences de presse du montant final annoncé par la justice italienne au terme de son enquête.

Ces titres datés de 1934 étaient cachés dans trois coffres-forts transférés de Hong Kong à Zurich en 2007. Selon les enquêteurs, un réseau aurait cherché à placer ces obligations auprès de pays émergents ou d’établissements bancaires en échange d’argent.

Huit personnes ont été arrêtées vendredi à l’aube dans le cadre de cette affaire dans les provinces du Latium (centre), de Basilicate (sud), en Lombardie (nord) et dans le Piémont (nord), a indiqué le parquet de Potenza, chef-lieu de la province de Basilicate.

Cette opération lancée par les magistrats de Potenza est «la plus grande (jamais lancée) pour ce type d’enquête», a affirmé à la presse le procureur du tribunal de la ville, Giovanni Colangelo. «Tout est parti d’une enquête sur les clans mafieux dans la zone du Vulture-Melfese», dans la région de Basilicate, selon le magistrat.

En 2011, le Ministère public du canton de Zurich a collaboré avec les autorités judiciaires de Potenza, selon une information obtenue par l’ats. Les magistrats de Potenza ont salué «la collaboration» des autorités suisses qui ont permis aux carabiniers italiens d’effectuer cette saisie. Pour l’heure, les autorités judiciaires zurichoises ne veulent pas donner plus de détails dans ce dossier.

Jusqu’en janvier

L’enquête a permis de mettre au jour «un réseau international autour de ces titres avec des personnes impliquées dans de nombreux pays» qui ont tenté de les placer sur le marché jusqu’en janvier, a poursuivi M. Colangelo. Selon lui, d’autres faux bons du Trésor pourraient encore être cachés.

«Les opérations de contrefaçon des titres, de déplacement des coffres de Hong Kong à la Suisse, les voyages dans le monde entier des membres du réseau ont un coût énorme et nous pensons donc que leurs bénéficiaires sont des gros poissons», a-t-il encore dit.

Les personnes arrêtées vendredi par la justice italienne sont la plupart âgées entre 50 et 70 ans, parmi elles figure un ancien maire de Montescaglioso, une ville de la province de Basilicate.

Des experts de la Banque centrale américaine (Federal Reserve) et de l’ambassade américaine à Rome ont examiné ces titres et ont confirmé qu’ils étaient faux, même si une grande partie d’entre eux étaient des contrefaçons d’excellente qualité, selon les magistrats.

Les coffres-forts contenant les obligations, datées apparemment de 1934, possédaient également chacun une contrefaçon du Traité de Versailles qui aurait pu accréditer l’idée auprès des criminels que ce trésor avait été accumulé dans le cadre d’échanges financiers entre les puissances ayant remporté la Première guerre mondiale.

Précédents

Cette saisie de faux titres américains, même si elle est la plus importante jamais réalisée, n’est pas la première en Italie.

En septembre 2009, les autorités italiennes avaient déjà saisi des faux bons du Trésor américain pour une valeur plus modeste (116 milliards de dollars) trouvés dans un colis à l’aéroport de Milan- Malpensa. Deux Philippins impliqués dans cette affaire avaient été arrêtés. Ces faux bons étaient eux aussi datés de 1934.

En juin de la même année, la police financière italienne avait aussi arrêté deux Japonais à la frontière entre l’Italie et la Suisse. Ils avaient caché de fausses obligations américaines pour une valeur de 134 milliards de dollars dans le double-fond d’une valise.

lundi 13 février 2012

Les croisés motivent AQMI

Jusqu’alors considérés « liés » à al-Qaïda, les insurgés islamistes shebab somaliens opèreront désormais sous le label de l’organisation terroriste. L’annonce a été fait hier par le chef d’al-Qaïda, l’Egyptien Ayman Al Zawahiri qui avait succédé à Oussama Ben Laden en mai dernier. « Je vais annoncer une bonne nouvelle à notre nation islamique qui va embêter les Croisés (Occidentaux, ndlr), déclare-t-il ur des sites islamistes. C’est que le mouvement shebab en Somalie a rejoint al-Qaïda »
source bordeaux7 le vendredi 10 février 2012.

- Mali: "exécutions sommaires" de militaires dans le Nord, selon Paris et Bamako
L'offensive de rebelles touareg dans le nord du Mali depuis la mi-janvier a été marquée par des "exécutions sommaires" de dizaines de militaires, mais aussi de civils, à Aguelhok (nord-est), a annoncé lundi un ministre français, ce qu'a confirmé l'armée malienne à Bamako.
"Il y a eu effectivement des violences absolument atroces et inadmissibles à Aguelhok, il y a eu effectivement des exécutions sommaires, des soldats, des personnes - on parle d'une centaine - qui ont été capturées et ont été froidement exécutées", a déclaré le ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt.
M. de Raincourt, qui s'est rendu au Mali le 9 février, n'a pas précisé qui étaient les responsables de ces tueries mais a souligné que "certains prétendent que la méthode utilisée pour l'exécution s'apparente à celle utilisée par Al-Qaïda".
Selon une source française proche du dossier, "au total, il y a eu 82 morts exactement, pas de civils". Les exactions ont été perpétrées le 24 janvier et le gouvernement français en a été informé la semaine dernière.
Le chef de la Direction de l'information et des relations publiques (Dirpa) du Mali, le colonel Idrissa Traoré, a confirmé "ces exécutions sommaires" le 24 janvier à Aguelhok, indiquant qu'elles ont également visé des civils.
"Il y a eu effectivement des exécutions sommaires ce jour, des personnes ont été égorgées, d'autres ont tout simplement reçu une balle dans la tête", et il y a eu des "civils" parmi les victimes de ces exécutions qui ne peuvent avoir été commises que par "ces gens" d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), a-t-il dit.
Il a affirmé ne pas pouvoir donner "le nombre exact" de tués, parlant "d'au moins une soixantaine de personnes qui ont été exécutées". Un officier qui a enterré des victimes de ces exécutions, contacté par l'AFP, a affirmé avoir compté "97 soldats tués".
Le 26 janvier, le ministère malien de la Défense avait annoncé que des membres d'Aqmi et des rebelles touareg avaient attaqué ensemble Aguelhok, évoquant des "jihadistes d'Aqmi", "des éléments du MNLA" (Mouvement national de libération de l'Azawad, rébellion) "et d'autres assaillants".
Connexion entre Aqmi et MNLA
C'était la première fois qu'il était fait état d'une connexion entre Aqmi et le MNLA, mouvement politico-militaire né fin 2011 de la fusion de groupes rebelles touareg. Dans le même temps, Paris avait affirmé n'avoir "aucune indication" sur des liens entre Aqmi et la rébellion touareg dans les combats.
Aguelhok, à 150 km au nord-est de Kidal, a été le théâtre de violents combats qui "ont forcé environ 4.000 personnes à fuir et à s'installer dans les villages environnants, la plupart dans des conditions très précaires", selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).
Une mission du CICR et de la Croix-Rouge malienne était sur place il y a moins d'une semaine, pour évaluer la situation. Le CICR a distribué des vivres aux déplacés. "On continue d'être dans le nord du Mali pour répondre aux besoins de la population", a déclaré à l'AFP un porte-parole du CICR.
Le Mali est confronté depuis le 17 janvier à des attaques de rebelles touareg contre plusieurs localités et objectifs de l'armée dans sa partie Nord. Les assauts sont menés par des hommes du MNLA et d'autres rebelles, dont des hommes lourdement armés rentrés de Libye où ils avaient combattu au service du dirigeant Mouammar Kadhafi, aujourd'hui déchu.
Les affrontements ont poussé des dizaines de milliers d'habitants à fuir ces zones: il y a des déplacés internes au Mali (au moins 30.000 recensés par le CICR, sans compter 20.000 autres évoqués par des sources locales) et au moins 20.000 réfugiés dans les pays voisins.
Lundi, le président malien Amadou Toumani Touré a fait une brève visite à Ouagadougou pour participer à une rencontre régionale. En marge des travaux, il s'est entretenu avec son homologue burkinabè Blaise Compaoré, dont le pays abrite quelque 10.000 réfugiés maliens.
Parmi ces réfugiés, d'après le gouvernement burkinabè, figurent "72 militaires et paramilitaires", dont un commandant de gendarmerie ayant récemment affirmé à la presse locale que les rebelles réclamaient "l'indépendance du Nord-Mali".
Un officiel malien a souhaité que Ouagadougou puisse le "faire taire" ou le remettre à Bamako pour qu'ils soient jugés.
yahoonews le 13 janvier 2012


Il est clair que le régime [du président syrien Bachar al-Assad] veut, coûte que coûte, tuer, assassiner, blesser ses propres citoyen. » Le Premier ministre britannique, David Cameron, hier devant la presse.
Bordeaux7 le vendredi 10 février 2012

Période d'élections = Alerte à la bombe à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol : un suspect arrêté

Un homme a été arrêté lundi en début d'après-midi à l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol après une alerte à la bombe qui avait mené à l'évacuation de deux terminaux passagers dans la matinée, a annoncé la gendarmerie de l'aéroport.



photo : Marcel Antonisse, AFP "Je peux confirmer qu'un homme a été arrêté et que la situation est sous contrôle", a déclaré le porte-parole de la gendarmerie de l'aéroport Robert van Kapel à la télévision néerlandaise NOS.

"L'homme s'est enfermé dans les toilettes au dessus des terminaux de départ 1 et 2 et a été arrêté après négociations", a expliqué le porte-parole, sans indiquer si l'individu était en possession ou non d'un engin explosif.

Deux terminaux passagers de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol avaient été évacués lundi matin, suite à une alerte à la bombe reçue par la gendarmerie de l'aéroport vers 11H00 (10H00 GMT).

Selon des médias néerlandais citant des témoignages recueillis sur place, le suspect, qui s'était enfermé dans les toilettes de l'aéroport après avoir déclaré à des passants qu'il transportait une bombe, était "perturbé".

L'aéroport d'Amsterdam-Schiphol accueille en moyenne entre 120.000 et 140.000 passagers par jour.

dimanche 12 février 2012

La couronne royale britanique, les Malouines, l'Argentine et les forces nucléaires marines

Le ton monte entre Buenos Aires et Londres ; le Togo tempère
L'Argentine a présenté vendredi aux Nations unies une plainte formelle contre la militarisation par Londres de l'Atlantique Sud, et le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a appelé les deux parties à éviter l'escalade dans la querelle autour des Malouines, rapporte le site onutogo.org.

Le ministre argentin des Affaires étrangères, Hector Timerman (photo), a rencontré successivement le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et le président en exercice du Conseil de sécurité, Kodjo Menan (Togo).

Nous avons des informations selon lesquelles dans le cadre du récent déploiement, (les Britanniques) ont envoyé dans l'Atlantique Sud un sous-marin nucléaire ayant la capacité de transporter des armes nucléaires, a déclaré à la presse le ministre argentin des affaires étrangères Hector Timerman.

Il a accusé le Royaume-Uni d'avoir quadruplé sa puissance navale dans l'Atlantique Sud avec ce déploiement, jusqu'à devenir la plus importante puissance militaire dans la région.

Répondant à M. Timerman lors de sa conférence de presse, l'ambassadeur britannique à l'ONU Mark Lyall Grant a qualifié l'accusation argentine de manifestement absurde. de profiter de cet anniversaire nous défendrons notre position de manière énergique.

Les Malouines, situées à l'extrême sud de l'Argentine, sont sous contrôle du Royaume-Uni depuis 1833, lorsqu'une canonnière britannique en a chassé les autorités argentines.

L'archipel est l'enjeu d'une guerre de mots entre les deux pays à l'approche des 30 ans du conflit anglo-argentin sur la souveraineté des îles (2 avril-14 juin 1982).

vendredi 10 février 2012

L'armée malienne dit passer à l'offensive contre les rebelles

..BAMAKO (Reuters) - L'armée malienne affirme être passée à l'offensive contre les rebelles touaregs dans le nord du pays en bombardant vendredi à l'aide d'hélicoptères leurs positions près de la ville de Kidal.

Le pouvoir malien a reçu le soutien de la France, qui, par la voix de son ministre de la Coopération Henri de Raincourt, a prôné le respect de "la stabilité" et de "l'intégrité territoriale du Mali".

Renforcés par des effectifs et des armes en provenance de Libye, les rebelles du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) ont lancé depuis mi-janvier des attaques contre plusieurs villes ou postes militaires dans le nord du Mali. Des dizaines de morts et plusieurs milliers de déplacés ont été signalés depuis.

Les rebelles se sont récemment approchés à huit kilomètres de Kidal, capitale de l'une des trois régions septentrionales qu'ils revendiquent. Un responsable militaire affirme qu'ils ont été maintenant repoussés par l'armée, qui a fait usage d'hélicoptères et d'armes lourdes.

"Cinq de nos hélicoptères ont bombardé les rebelles", a dit ce responsable, selon lequel les frappes ont eu lieu à une quinzaine de kilomètres de Kidal.

Une autre source militaire a ajouté: "Nous n'attendons plus qu'ils nous attaquent. Désormais, c'est nous qui sommes passés à l'offensive."

Les militaires n'ont fourni aucun bilan.

REPORT DES EXERCICES AVEC LES USA

Un porte-parole des rebelles a dit ne pas avoir connaissance du moindre assaut lancé vendredi par l'armée. Selon lui, des hélicoptères de l'armée malienne ont bien tenté de les bombarder mercredi et jeudi, sans faire de blessés.

La France a jugé qu'il ne saurait y avoir de solution militaire à cette rébellion touarègue.

"La France se tient aux côtés du Mali pour trouver des solutions politiques qui permettront de sortir de la crise", a dit Henri de Raincourt lors d'une visite jeudi à Bamako.

"La France est attachée à la stabilité, à l'unité et à l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il ajouté.

Les pays de la région craignent que cette rébellion ne constitue pas seulement une menace pour le Mali mais qu'elle profite aussi à Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), implanté dans cette région d'Afrique aux confins du Sahara.

Les Etats-Unis ont d'ailleurs annoncé vendredi le report de leurs manoeuvres antiterroristes avec des pays de la région afin de permettre au Mali de concentrer ses efforts contre la rébellion touarègue. Ces manoeuvres, baptisées Flintlock 2012, devaient débuter dans le courant du mois et se prolonger jusqu'en mars.

"La participation du Mali aux manoeuvres Flintlock 2012 est essentielle à leur réussite et nous comprenons son besoin de concentrer les efforts nécessaires à la préservation de sa sécurité", a déclaré l'ambassadrice américaine au Mali, Mary Beth Leonard, sans fournir de nouvelle date pour ces exercices de formation.

Adama Diarra et Tiemoko Diallo, Bertrand Boucey pour le service français

source : http://fr.news.yahoo.com/larm%C3%A9e-malienne-dit-passer-%C3%A0-loffensive-contre-les-193010380.html