mardi 25 octobre 2011

WORLD TRADE : La vérité

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Comme beaucoup de personnes le savent, le 11 septembre 2001 à New York, 2 avions se sont crashés volontairement dans les "tours jumelles". Beaucoup croyent à un attentat étranger et pourtant… Vous y croyez ? Magouilles du gouvernement, oui, mais pas attentat de je n'sais qui !!!

- Regardez les articles et les vidéos qui vont suivres et analysez

Voici deux éléments que beaucoup ne connaissent pas, seulement deux et déjà la version officielle ne tient plus la route et ce ne sont pas les seuls : Des pompiers font bien tranquillement leur travail au milieu de l'enfer des flammes ; des gens entendent des explosions dont on nie qu'elles se soient produites ; l'acier se met à fondre bien au-dessous de sa température de fusion - un peu plus d'un an après la catastrophe de New York, les déclarations officielles prennent de plus en plus l'allure de mensonges. L'enfer de flammes causé par le kérosène des avions aurait, paraît-il, dégagé une telle température que les poutres d'acier auraient fondu, causant d'abord la chute des étages supérieurs, puis l'effondrement des deux tours. Or, on sait que l'acier a un point de fusion de 1500 degrés Celsius, et des experts objectent que la combustion d'hydrocarbures (comme par exemple le kérosène) dégage tout au plus une température de 800 degrés, lorque les conditions sont optimales et qu'il y a suffisamment d'oxygène. D'autres éléments suspects Une cassette audio placée sous séquestre par le ministère américain de la Justice et soi-disant "disparue" pendant un certain temps, contredit la thèse officielle. Cet enregistrement des communications radio entre les équipes de secours prouve que deux pompiers avaient bien réussi à atteindre le 78ème étage de la tour sud : les chefs de bataillon Orio J. Palmer et Ronald P. Bucca - ils figurent tous les deux parmi les 343 pompiers qui ont trouvé la mort ce jour-là. Par radio, les deux hommes signalent qu'il y a de nombreux morts et des blessés à évacuer d'urgence. Ils font également état de deux foyers d'incendie, tout à fait maîtrisables à leurs yeux. Les voix des deux pompiers sont calmes ; on n'y décèle aucun signe de panique, aucun élément donnant à penser que la situation échapperait à tout contrôle. Au contraire, ils réclament l'envoi de deux équipes pour combattre les incendies. C'était quelques minutes avant que la tour sud ne s'écroule. Plusieurs pompiers ont également entendu des explosions. Louie Cacchiolo a confié au People Magazine : "J'ai conduit mes hommes au 24ème étage afin d'évacuer les gens qui s'y trouvaient. Durant le dernier transport, nous avons entendu une bombe exploser. Nous pensons que des bombes étaient placées dans l'édifice." Cependant tous ces témoignages sont volontairement passés sous silence par les responsables. Un porte-parole du FBI a même déclaré au journal American Free Press qu'il n'avait jamais entendu parler de telles explosions. Mais ce n'est pas tout : quelques fractions de seconde avant l'effondrement des tours jumelles, des sismographes ont enregistré de puissantes secousses. Ces appareils se trouvent à près de 35 kilomètres du Ground Zero, à l'Observatoire terrestre Lamont-Doherty de l'Université Columbia. Les impacts des deux avions n'ont pratiquement pas laissé de traces sismiques. En revanche, la tour sud, en s'écroulant, a causé pendant huit secondes un tremblement de force 2,1 sur l'échelle de Richter ; la tour nord, un tremblement de force 2,3 pendant dix secondes. Mais juste avant les effondrements, les sismographes ont enregistré de violentes secousses, vingt fois plus puissantes que les vibrations provoquées par la chute des débris. Il faut savoir que l'énergie libérée augmente selon le carré de la force sismique enregistrée, c'est-à-dire qu'une secousse vingt fois plus forte correspond à une onde de choc 400 fois supérieure. Lorsqu'un sismographe enregistre une très courte poussée d'une extrême violence, c'est le signe d'une explosion souterraine de très grande puissance. A ce jour, les experts n'ont pu fournir d'explication satisfaisante au fait qu'on ait enregistré ces deux gigantesques secousses avant que les premiers débris du World Trade Center ne fracassent le sol. Sur la feuille du sismographe, les deux ondes de choc n'ont pas dessiné une courbe étirée horizontalement, avec des hauts et des bas, mais seulement de longs traits verticaux. C'est pratiquement comme si quelqu'un avait brusquement "tiré le tapis sous les pieds des tours jumelles". Destruction des pièces à conviction Malgré ces questions sans réponses et malgré les nombreux témoignages faisant état d'explosions, les 80 barres d'acier subsistant après l'effondrement n'ont été soumises à aucun examen permettant de détecter les traces d'une éventuelle déflagration. Entre-temps tout a été recyclé, sans que la plus grande catastrophe des temps modernes affectant un gratte-ciel n'ait fait l'objet d'une enquête sérieuse. William A. Manning, rédacteur en chef de Fire Magazine, considère qu'il s'agit là d'une "destruction de pièces à conviction". Le 6 mars 2002, la Commision scientifique de la Chambre des Représentants indiquait que les investigations n'avaient pu s'effectuer normalement, car "des éléments importants de la charpente d'acier avaient disparu avant même que les premiers enquêteurs n'arrivent sur les lieux". 50.000 tonnes de ferraille provenant des poutres métalliques du WTC ont ainsi été vendues à Shanghaï. L'opération a permis à l'entreprise de recyclage Metal Management de Newark (New Jersey) de gagner 2,5 millions de dollars. Le professeur Glenn Corbett du John Jay College for Criminal Justice de New York a décrit l'inspection effectuée par la FEMA comme superficielle et à l'opposé d'une enquête véritablement sérieuse : "Nous sommes très loin de ce qui devrait être la plus grande investigation de tous les temps. Les restes du World Trade Center sont traités comme de vulgaires détritus et non comme des pièces à conviction de la plus haute importance." Sous la pression des organisations des familles de victimes et des syndicats de pompiers, le gouvernement a fait un petit pas en arrière et ordonné que de véritables recherches soient entreprises sur la catastrophe du WTC. C'est le National Institute of Standards and Technology, un institut dépendant du Ministère du Commerce, qui en a été chargé. Le seul problème : les preuves matérielles sont détruites depuis longtemps. Des décombres en or Larry Silverstein, lui, ne s'en soucie guère. Il s'efforce de faire avec 3,5 milliards de dollars le double de cette somme. En fait, Larry Silverstein devrait être ruiné. Le 11 septembre a non seulement détruit l'édifice de 47 étages connu sous le nom de WTC 7, qui lui appartenait, mais aussi les deux tours jumelles de 110 étages. Le 26 juillet 2001, il avait acquis ces deux tours en signant un contrat de crédit-bail d'une durée de 99 ans. 48 jours plus tard, Larry Silverstein se retrouve devant une montagne de décombres qui doit lui rapporter plusieurs milliards de dollars de profits. En compagnie de son partenaire australo-israélien Frank Lowy, Silvertein a pu décrocher le deal du siècle, grâce à son ami de longue date Lewis Eisenberg. Ce dernier était président de la Port Authority of New York and New Jersey, l'organisme public propriétaire du World Trade Center. Silverstein et Eisenberg se connaissent depuis l'époque où tous deux occupaient des postes dirigeants au sein de la United Jewish Appeal, une organisation juive de "bienfaisance" qui, selon le journaliste Christopher Bollyn, gère un budget de plusieurs milliards. Lewis Eisenberg était en outre vice-président de l'American Israel Public Affairs Committee, une puissante organisation pro-israélienne. Aujourd'hui, Eisenberg est le plus important pourvoyeur de fonds du Parti républicain du président Bush. Le magnat de l'immobilier Larry Silverstein va bientôt rouler sur l'or car le World Trade Center était assuré pour 3,5 milliards de dollars. Mais cela ne suffit pas. Ses avocats font valoir que la catastrophe du 11 septembre a donné lieu à deux sinistres, puisqu'il y avait deux avions. L'assurance devrait donc payer le double. Harold Rubenstein, le porte-parole du groupe immobilier Silverstein, se déclare optimiste quant à l'issue du procès. Seule petite fausse note : le 14 janvier 2002, des créanciers de Silverstein l'ont attaqué en justice devant la Cour Suprême de l'Etat de New York, faisant valoir qu'il avait détourné une partie des sommes déjà versées par l'assureur. Plus concrètement, on reproche à Silverstein d'avoir payé des lobbyistes à New York et à Albany (la capitale de l'Etat), afin qu'ils interviennent auprès des instances politiques pour faire limiter la responsabilité civile de Silverstein vis-à-vis des victimes de la catastrophe

blog romandie.com le 24/09/2007 16:44

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