mardi 25 octobre 2011

Le président irakien demande la libération immédiate d'un Iranien arrêté par les forces américaines

YAHOO news dimanche 23 septembre 2007 à 0H38


BAGDAD - Le président irakien Jalal Talabani a réclamé samedi la libération immédiate d'un Iranien interpellé cette semaine par les forces américaines, soulignant que Téhéran avait menacé de fermer sa frontière avec le Kurdistan irakien si le ressortissant n'était pas relâché.

Selon un communiqué diffusé par le bureau du président Talabani, l'arrestation du responsable iranien dans un hôtel de la ville kurde de Souleimaniyeh jeudi a eu lieu sans que les autorités du Kurdistan irakien en soient préalablement informées et en l'absence de toute coopération.

"Cela équivaut à une insulte et à une violation de leurs droits et de leur autorité", souligne le communiqué, citant une lettre que le chef d'Etat irakien a adressée au commandant des forces américaines en Irak, le général David Petraeus, et à l'ambassadeur des Etats-Unis Ryan Crocker le jour de l'arrestation.

Jalal Talabani, kurde, est l'un des plus sérieux alliés de Washington en Irak, mais le ton de sa lettre aux responsables américains dans le pays suggère que cette interpellation l'a profondément indigné.

Selon l'armée américaine, le suspect est membre d'une unité d'élite des Gardiens de la Révolution iraniens accusés d'armer et de former des milices chiites en Irak.

M. Talabani a affirmé que le ressortissant iranien arrêté cette semaine faisait partie d'une délégation officielle dont la présence au Kurdistan était connue du gouvernement irakien et des autorités de la région. AP
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Yahoo news le dimanche 23 septembre 2007 à 8H58

L'ONU hésite à accroître son rôle en Irak. Par EuroNews

Le secrétaire général des Nations-Unies Ban Ki-Moon a participé hier à New York à une conférence inetrnationale à huis-clos sur la reconstruction du pays dévasté. Autour de la table, le Premier ministre irakien Nouri Al-Maliki, et des représentants d'une vingtaine de pays parmi lesquels les 5 membres permamnents du Conseil de sécurité et huit pays voisins de l'Irak.

La résolution 1770 du conseil de sécurité a été évoquée. Adoptée en août, elle confère à l'ONU un rôle accru en Irak, y compris politique et diplomatique, si les circonstances le permettent. Or la violence persiste dans le pays, il reste donc beaucoup a faire pour améliorer cette situation a déclaré Ban Ki-moon à l'issue de conférence.

L'ONU a limité sa présence en Irak à quelques dizaines de personnes après l'attentat d'août 2003 contre son quartier général à Bagdad. 22 personnes avaient été tuées dont le représentant spécial des Nations Unies, Sergio Vieira de Mello.

Blog romandie
23/09/2007 13:00

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